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Beautiful Liar
Make A Difference :: 03 Astoria :: Burton Ridge
Josephine Sørensen
Josephine Sørensen
Il va faire tout rang
Âge : 39 ans
Supers : Détecteur de mensonge
Occupation : Avocate spécialisé dans les affaires de Supers
Habitation : Burton Ridge
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Ven 23 Oct - 18:05 #
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La ponctualité était une valeur importante pour Josephine. Elle s'arrangeait toujours pour être à l'heure à ses rendez-vous, s'assurant parfois d'une légère avance pour flatter au besoin son interlocuteur. Être en retard constituait une forme d'échec, une impolitesse intolérable, véritable pied de nez à sa réputation. Droite sur la banquette arrière d'un taxi hors de prix, l'avocate regardait distraitement le soleil finir sa course dans le port. Son apparente tranquillité n'était troublée que par le tapotement régulier de ses ongles sur sa cuisse. Stupide éditeur ! À cause de lui, elle avait déjà cinq bonnes minutes de retard, et les embouteillages de fin de journée influençaient grandement le temps de trajets. Quelle idiotie tout de même ! Exiger de l'avoir elle, au téléphone, pour se plaindre des dérives de sa cliente en exigeant qu'elle arrange tout immédiatement. Si elle n'avait pas tardé à lui faire ravaler son arrogance, tout en délicatesse, elle n'avait fait que contenir son agacement. D'une manière ou d'une autre, celui-ci ressurgissait. Le feu passa de nouveau au rouge, forçant la voiture à se mettre à l'arrêt.

Josephine soupira. C'en était assez. Elle tira un billet de son sac et le tendit au chauffeur. - Pour votre course. Vous pouvez garder la monnaie. Je descends, ici. Il l'observa à travers le rétroviseur, un peu hébété, avant de chercher à la raisonner sous prétexte que la 5th avenue était envahie de véhicules. De véhicules à l'arrêt. Qu'y avait-il à craindre ? L'avocate le salua d'un sourire avant de s'extraire de l'habitacle. Elle sinua entre les capots, droite et fière, sans s'intéresser le moins du monde aux remarques qu'on aurait bien pu lui faire. Aujourd'hui, elle n'avait pas envie d'obéir aux conventions. Un vent de révolte soufflait doucement au fond de son ventre.

Quelques minutes plus tard, elle pénétra enfin dans un bar à cocktail huppé de Burton Ridge. Ses yeux fouillèrent la salle jusqu'à repérer un jeune homme, un peu à l'écart de la foule animée. Elle le rejoignit d'un pas décidé, un sourire aux lèvres. Une fois à distance respectable, elle vint l'embrasser sur la joue en s'excusant. - Pardonne mon retard, un éditeur m'a appelé pour me rapporter les dernières frasques d'une de mes clientes. La conversation a été plus longue qu'espérée. Tout en se délestant de sa veste, elle poursuivit. - Il a haussé le ton sur moi, Andrew. La douceur de sa voix camouflait sans mal la colère refoulée qui menaçait d'éclater une nouvelle fois. Elle évoquait ce détail comme s'il relevait de la plus haute importance. Il justifiait en tout cas qu'elle ait dû prendre le temps de remettre cet homme à la place qui lui était due. Elle n'était pas le genre de femme de qui on exigeait quoi que ce fût. Ses lèvres se pincèrent, très légèrement, seul indice de sa contrariété. - De plus, il m'a mise en retard. Elle leva les yeux au ciel avant de secouer la tête, comme pour oublier ce désagréable incident. - J'ose espérer que ta journée a été meilleure que la mienne. Comment-vas-tu, Andrew ?

Déjà, une serveuse s'approchait d'eux pour prendre leur commande. Josephine opta pour un martini, estimant qu'un peu de légèreté ne lui ferait pas de mal. Au départ de la jeune femme, elle reporta toute son attention sur son banquier, devenu ami au fil du temps. - Tu es très élégant, ce soir. Quelqu'un t'attendrait-il plus tard ? Son expression se teinta de malice, plus amusée par la possibilité que réellement inquiète à l'idée d'être abandonnée plus tôt.
Andrew Walsh
Andrew Walsh
Rang juste naze
Âge : 30 yo
Occupation : Banquier
Habitation : Hillcrest Heights
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A un frère, Edwin, qu'il ne supporte plus √ Fait tout pour obtenir l'approbation de son père √ A le coeur brisé par la mort de sa fiancée √ N'aime pas beaucoup les gens √ Est patient mais peut vite s'énerver quand on touche sa vie privée √ Est intransigeant au travail √ N'est ni pour ou contre les supers √ N'aime pas la piscine ni les gens en général √ Constamment testé dans son travail à cause de sa jeunesse √ A quelques tatouages cachés par ses vêtements √ Est ambitieux √ Aime bien la picole √
Mer 28 Oct - 19:01 #
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Installé dans son siège, l'homme glissa le pouce sur l'écran de son téléphone pour lire les dernières infos du moment sur ses réseaux sociaux. A vrai dire, il n'était pas actif, si ce n'était pour poster des photos des quelques paysages qu'il adorait sans pour autant parler de sa vie comme d'autres personnes. Qu'est-ce qu'il détestait ça, de voir que certains s'étalaient partout où ils pouvaient, pour qu'on les plaigne ou juste pour avoir de l'attention. Tsss. A son sens c'était pathétique. Malheureusement pour les bonnes mœurs, il ne pouvait pas le dire et surtout, il n'avait pas le temps de s'occuper des drames que cela engendrait. Lentement, l'homme se passa la main dans les cheveux et dans un réflexe un peu bête, il observa la montre à son poignée au lieu de fixer son écran qui aurait tout aussi bien pu lui montrer l'heure. Son regard se releva en direction de la porte qui laissait passer quelques personnes mais pas celle qu'il attendait. Surprenant. Foutrement surprenant de la part de Josephine d'être en retard. L'espace d'un instant, le greco-américain se demandait s'il devait l'appeler ou lui envoyer un message mais était-ce vraiment nécessaire ? Ce n'était que quelques minutes après tout mais pour eux, qui avaient toujours l'habitude d'être pile à l'heure, c'en était presque inquiétant.

Le banquier poursuivit sa balade informatique, se jurant qu'il l'appellerait si elle avait plus de dix minutes de retard, fixant parfois longuement les minutes qui s'écoulaient lentement. Enfin, la voix de l'avocate le fit relever la tête, le faisant sourire grandement. Enfin ! Et entière ! Encore un peu, il se reconvertissait en scénariste de film d'horreur. Le financier vint rendre sa bise à la blonde et l'observa s'installer, laissant échapper un rire après ses explications. "J'espère au moins que tu l'as remis à sa place, celui-là." fit le brun en revenant s'installer correctement sur sa chaise, rangeant son téléphone dans sa poche, l'ayant mit en silencieux juste avant, pour ne pas être déranger. Andrew faisait très peu de coupures avec son travail mais lorsqu'il avait l'occasion de se trouver avec les rares personnes qu'il appréciait, il préférait ne pas être distrait par le monde extérieur, comme des appels ou des notifications.

A la première question de son amie, Andrew se frotta le menton, pour réfléchir quelques secondes. Est-ce que sa journée avait été meilleure ? Pas vraiment, en réalité. "Mon père est toujours aussi exigeant, mon frère toujours aussi cons, les clients exaspérants alors tout est pareil. Je vais bien du coup !" laissait échapper l'homme avec entrain feint mais dont il maîtrisait parfaitement chaque aspect. Depuis tout ce temps, faire semblant était devenu une deuxième nature pour lui. Lentement, l'homme posa le coude sur la table et le menton dans sa main pour observer la blonde, sourire aux lèvres, relevant le visage uniquement pour commander un whisky. Depuis le temps qu'ils se connaissaient, Josephine et lui, il ne pouvait pas nier qu'il avait une sorte d'affection pour elle. Avec beaucoup de douceur, il tendit la main pour qu'elle lui donne la sienne, venant embrasser délicatement ses doigts, une sorte d'aveu silencieux sur le bien fou que lui faisait cette soirée en tête à tête. Pour sa seconde question, l'homme offrit un second rire. "J'oserai jamais te planter, voyons. Je me suis juste dit qu'il était important que le monde voit la plus grande avocate d'Astoria en présence d'un mec pas trop moche." laissait tomber le brun en se reculant lorsque la serveuse s'approcha d'eux pour poser les boissons face à eux. D'un geste précis et lent, le financier souleva son verre pour le cogner doucement contre celui de la belle, prenant une légère gorgée pour le goûter. Hm... Pas mauvais. "Alors, dis moi. Elle a fait quoi ta cliente pour que tu finisses par insulter son éditeur ?" qu'il rajoutait, sourire amusé au visage, yeux plissés, preuves qu'il était enjoué par cette explication.

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Josephine Sørensen
Josephine Sørensen
Il va faire tout rang
Âge : 39 ans
Supers : Détecteur de mensonge
Occupation : Avocate spécialisé dans les affaires de Supers
Habitation : Burton Ridge
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Sam 31 Oct - 22:43 #
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Joséphine accompagna son mouvement d'épaule d'un sourire énigmatique. Bien évidemment, elle avait remis cet éditeur à sa place, sans même avoir à lever le ton. Néanmoins, fidèle à son éducation, elle n'ébruita pas à quel point sa victoire avait été sans appel. À quoi bon écorcher la réputation d'un homme déjà à terre ? Elle aurait risqué de s'en faire un ennemi. Elle se satisfaisait pleinement d'avoir su lui prouver qu'entre lui et elle, existait un gouffre qu'il ne pourrait jamais franchir. Rapidement, elle changea de sujet, prenant des nouvelles de celui, qui au fil des années, était devenu un ami.

Le mensonge, si habilement dissimulé, grésilla dans sa tête dans un ronronnement particulier. L'avocate ne put retenir un regard de compassion, sincèrement peiné que ça situation ne se soit pas améliorée avec le temps. - Oh, Andrew... Fit-elle, alors qu'il embrassait le bout de ses doigts. Cette charmante attention lui valut un sourire conquis. Josephine sentait qu'il y avait bien plus qu'une mauvaise journée derrière tout cela. Une tristesse profonde l'accompagnait encore, maîtresse fidèle et intransigeante. Plutôt que de le confronter directement, l'avocate opta pour un brin d'humour dont le jeune homme se saisit aussitôt. Elle lâcha un rire léger qui flotta dans l'air quelques instants. - Heureusement pour moi, je ne figure pas au rang des personnalités à suivre publiquement. Elle savourait cette liberté, dévolue aux anonymes, véritable artisane de l'ombre qui agissait derrière la lumière des puissants. Elle avait été tentée, plus d'une fois, de monter sur le devant de la scène pour faire valoir ses idées sans devoir passer par d'autres voix que la sienne. Puis, elle s'était résignée, jugeant bien plus confortable de conserver sa vie privée en dehors des limites accessibles. - Néanmoins, il est évident que ta simple présence me mettrait en valeur. Elle me rajeunirait.Un compliment lancé sur le ton d'une fausse séduction, dépassée depuis longtemps déjà.

Joséphine remercia la serveuse qui vint déposer leurs commandes avant d'approcher son verre en direction d'Andrew pour trinquer avec lui. Une première gorgée vint célébrer cette soirée qui promettait déjà d'être agréable. - Allons ! fit-elle en fronçant les sourcils. Son air sévère s'effaça vite au profit d'une mine plus malicieuse. - Je n'ai pas eu besoin de l'insulter. Je laisse ces vulgarités à d'autres. Quant à ma cliente, rien que le mois passé, elle a agressé une personne avec un livre, frappé un père de famille et menacé beaucoup trop de personnes de mort ou de sévices corporelles. Beau palmarès, n'est-ce pas ? Étrangement, Josephine donnait davantage la sensation de parler d'une enfant turbulente et facétieuse que d'une psychopathe chevronnée. Elle nourrissait une forme d'affection pour Nora, et ce, malgré le caractère impulsif de la jolie brune. Elle passa sous silence les détails qui aurait pu rendre l'écrivaine reconnaissable, taisant les fois où celle-ci avait utilisé son pouvoir à des fins peu généreuses. - Elle n'apprécie pas tellement qu'on lui dicte sa conduite, ajouta-t-elle en souriant. - Je l'aime bien. Elle aimait également les sommes qui s'affichaient au moment de la facturation. - Son éditeur m'a plus ou moins accusé de ne pas être capable de la tempérer. J'ai dû lui rappeler que ce n'était pas là mon travail, mais le sien, et qu'au demeurant, je n'avais pas le souvenir d'avoir signé le moindre contrat avec lui. Je lui ai également proposé de lui transmettre les coordonnées d'un confrère s'il se sentait lésé à ce point puisque, il ne correspondait pas aux critères de ma clientèle. Elle célébra son histoire d'une nouvelle gorgée. - Tu vois, aucune insulte. Rien que la vérité. Elle lui sourit, beaucoup plus sereine qu'à son arrivée, comme si avoir partagé son agacement l'avait rendu moins important. Tant pis pour cette entorse à ces habitudes. Elle avait finalement écorché la reputation d'un homme à terre.

- À ton tour, quels sont donc les clients qui ont osé t'exaspérer aujourd'hui ? Quoi qu'ils aient fait, rappelle-toi que l'élégance et l'intelligence ne sont pas donnés à tout le monde. Par ailleurs, je crois que tu n'es pas passé inaperçu ici ce soir. Il y a une charmante jeune femme rousse qui t'observa discrètement depuis le bar, tout en poursuivant sa conversation avec ses amies.
Andrew Walsh
Andrew Walsh
Rang juste naze
Âge : 30 yo
Occupation : Banquier
Habitation : Hillcrest Heights
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A un frère, Edwin, qu'il ne supporte plus √ Fait tout pour obtenir l'approbation de son père √ A le coeur brisé par la mort de sa fiancée √ N'aime pas beaucoup les gens √ Est patient mais peut vite s'énerver quand on touche sa vie privée √ Est intransigeant au travail √ N'est ni pour ou contre les supers √ N'aime pas la piscine ni les gens en général √ Constamment testé dans son travail à cause de sa jeunesse √ A quelques tatouages cachés par ses vêtements √ Est ambitieux √ Aime bien la picole √
Jeu 3 Déc - 4:00 #
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La plaisanterie de Josephine fit sourire longuement Andrew, qui la dévisageait de ses prunelles azurées sans jamais lâcher sa main une seule fois. Un léger rire quitta ses lèvres et lentement, de son pouce, se mit à caresser les phalanges féminines. "Allons, tu as à peine quelques années de plus que moi et ça se voit pas ! Tu es toujours magnifique." fit-il, sincèrement, sur le ton d'une séduction appartenant aux nuits qu'ils avaient passés ensemble il y avait bien longtemps de ça, désormais. Depuis qu'ils se connaissaient, l'avocate et lui, l'homme devait avouer qu'il n'avait pas revu de femme dont le sourire lui faisait fondre le coeur en permanence. C'était le cas avec la blonde et bien souvent, il pensait être incapable de lui refuser quoique ce soit. C'était peut-être pour ça qu'il avait essayé de l'aider au début, en plus de vouloir contrarier son père. En tous les cas, ce soir, il lui offrait un sourire conquit, comme à chaque fois qu'elle se présentait à lui.

Au début de son histoire, lorsqu'elle aborda le sujet de sa cliente, le financier retint une quinte de toux, les larmes montant rapidement aux yeux et se râcla la gorge comme il pu, toussotant par moment à cause de l'alcool avalé de travers. S'il se voulait discret, ses yeux plissés trahissait comme le karma ne l'avait pas raté alors qu'il s'était mis à rire. "Pardon ?" avait-il simplement laissé échappé, bien trop surpris par ces informations. Comment pouvait-elle défendre une personne si peu stable mentalement. Menacer des gens, les frapper... Mais quoi ? Et puis, à quel moment pouvait-on se dire qu'un livre pouvait être utilisé comme arme ? Il fallait vraiment être fêlé pour essayer... Qui était assez fou pour faire ça ? Ou alors était-ce un enfant star qu'elle devait constamment protéger parce que la célébrité lui était monté à la tête ? Allez savoir. En tout cas, rien que le début de ces anecdotes faisait rire le brun qui s'enfonça dans sa chaise. Pourtant tout portait à croire que la femme se confiait à propos d'une adulte aux capacités intellectuelles développées mais trop impulsive pour accepter de ne pas faire d'esclandre, ce qui fit encore rire le banquier qui vint essuyer une larme de joie, du bout de l'index.

"Je crois bien que le pire dans cette histoire, c'est qu'on te reproche à toi, de ne pas faire le travail d'un autre." commenta le greco-américain, simplement, une fois ses envies de fou rire passées. Lentement, il porta son verre à ses lèvres et prit une longue gorgée pour essayer d'effacer les dernières traces de son amusement et concluait ce chapitre d'un long soupir apaisé. Comme à son habitude, l'avocate était restée classe et professionnelle, là où beaucoup auraient déjà craqués. Andrew lui-même avait parfois du mal à faire la part des choses et luttaient contre mille démons pour ne pas envoyer un client trop impoli voir ailleurs alors il devait bien reconnaître qu'à ce niveau Josephine l'impressionnerait toujours.

"Je..." commençait le banquier en s'arrêtant à la remarque de son amie. Une rousse qui parlait avec ses amies, au bar, en l'observant ? L'information le perturba quelque peu et ses yeux glissèrent dans la direction indiquée, léger sourire charmeur aux lèvres puis il se concentra à nouveau sur la blonde. "Tu cherches à me caser ?" demandait le banquier en recommençant à ricaner. "Ou alors tu veux te défaire de moi ?" poursuivait l'homme qui finissait par croiser les jambes, s'enfonçant à nouveau dans son siège, l'air de dire qu'il ne comptait pas quitter sa place. "Pour répondre à ta question : De nombreux partisans de mon père me sont encore tombés dessus. Ils ont encore essayés de prouver mon incompétences et il a encore fallut que j'use de stratagèmes pour ne pas les envoyer voler par la fenêtre du troisième." avouait le jeune homme en levant les yeux au ciel. "Je n'ai pas l'expérience de mon paternel et ils n'apprécient pas ça, qu'un jeunot soit en charge de leur fortune. Alors que je met en place tant de système que ça ne pourrait que leur être bénéfique..." concluait Andrew en se passant la main dans les cheveux pour arranger ses mèches rebelles. "Bref, en somme, rien de nouveau, quoi !" fit-il en haussant les épaules, l'air de dire que c'était un quotidien qu'il affrontait souvent.
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