Holme
Il rend parfois visite à ses parents et ses sœurs restés sur la côte est mais de moins en moins souvent au fur et à mesure que le temps passe et malgré l’âge avancé de ses parents.
C’était une bonne chose. La discrétion n’a jamais été son fort, il n’aurait probablement pas supporté de vivre dans la clandestinité avec un tel potentiel. Bien sûr, cela a créé des haines et des jalousies mais pour Chester, il faut faire avec. L’avenir appartient aux supers, ce sont ceux qui s’y opposent qui sont la véritable anomalie et qui finiront par disparaître avec le temps.
L’héroïsme du super, évidemment. Les gens normaux ont besoin de héros, pas de pleurnicher sur des victimes collatérales dont tout le monde se fiche et qui ont déjà sombré dans l’oubli. C’est en substance le fond de sa pensée même s’il n’est pas assez bête pour l’exprimer en public. Lorsqu’on aborde avec lui cet évènement qui divise, il défendra avec un sérieux qui ne lui est pas coutumier l’héroïsme du super et bifurquera sur leur rôle qui est avant tout de protéger la veuve et l’orphelin.
Pro-super, il y travaille tous les jours chez Vangard et estime qu’il fait plutôt du bon boulot.
Ceci est une zone libre pour développer votre personnage qui peut prendre la forme que vous voulez (anecdotes (min.6), histoires, morceau de rp...).
01 1998, banlieue d’Albany
Les chiens étaient à leurs trousses et désormais c’était chacun pour soi. En explorant en pleine nuit le vieux manoir inhabité avec 2 copains, dont Tom chez qui il était censé dormir ce soir, Chester ne pensait pas s’attirer les foudres du gardien. Normalement, le gardien aurait dû dormir à poings fermé dans sa dépendance. Et normalement, ses chiens auraient dû être enfermés au chenil. C’est ce qui était prévu et c’est ce qui devait leur permettre une incursion tranquille dans le manoir qu’on disait hanté. Mais voilà que rien ne se passait comme prévu et qu’il courait à toutes jambes pour quitter au plus vite le domaine. Tom et ses plans foireux… A bout de souffle, Chester arrive à une grille haute de 3 mètres au moins. Dans la panique, il tente en vain d’escalader les barreaux glissants avec ses mains moites, tandis que les aboiements se rapprochent. C’est bien lui que la horde poursuit et il n’a jamais eu aussi peur de sa vie. En désespoir de cause, il essaye de passer entre les barreaux. Si seulement sa tête n’était pas si grosse… Il se retourne, voit un chien se jeter sur lui et sa nuque est comme aspirée par l’acier. Lorsqu’il se relève, il est passé de l’autre côté de la grille. Inexplicablement, Chester est maintenant hors d’atteinte des chiens qui aboient de plus belle et montrent les crocs derrière la clôture. Il ne demande pas son reste et s’enfuit loin dans la nuit.
02 2004, campus d’Albany
« Répète un peu pour voir gringalet ? » Le bloqueur des Great Danes d’Albany n’appréciait pas du tout la plaisanterie de Chester. Elle avait pourtant fait rire l’assistance, tout le monde s’était esclaffé sauf ce grand gaillard qui faisait facilement 40 kg de plus et qui plombait méchamment l’ambiance de la soirée. Pas question pourtant de baisser son froc en s’excusant, pas devant Clara et Kristen qui elles riaient à toutes ses blagues, même les plus nulles. « C’est ça ta répartie ? (il l’imite grossièrement) Répète un peu pour voir gringalet ? Tu peux pas faire mieux ? Je sais qu’on vous apprend plus à foncer dans l’tas qu’à vous vous exprimer finement chez les Danes mais quand même… » Le footballeur s’était rapproché de Chester, faisant monter la tension d’un cran. Pour ne rien arranger, ils étaient aussi éméchés l’un que l’autre. « Arrête de faire ton malin. Et répète ce que t’as dit si t’as des couilles. » Chester répond par son sourire le plus narquois, un sourire de petit con qui lui vaut sans préavis une grosse mandale en pleine poire. Cette mandale l’aurait facilement envoyé au tapis si son pouvoir ne l’avait pas aidé à encaisser le choc. Surpris de l’étrange sensation qu’il ressentit lors de l’impact, comme lorsqu’il cognait un punchingball à la salle, l’armoire à glace hésite à en remettre une deuxième, juste le temps qu’il fallait à Chester pour se jeter sur lui et les faire tomber à terre. La suite est plus confuse et on les sépara rapidement sans qu’un vainqueur par ko ou aux points puisse être désigné. Mais Chester avait gagné dans l’histoire une solide réputation de bagarreur, de gringalet « qui en avait », et c’était bien là l’essentiel.
03 2010, locaux de Globalcom
Cela avait commencé comme n’importe quelle journée de merde. Les embouteillages, le commentaire acerbe de son manager sur ses 14 minutes de retard, le café dégueulasse. Et il s’était mis au boulot ou plutôt avait fait semblant de s’y mettre. 5 ans d’études, un master’s degree en marketing et 10 ans de dettes à rembourser pour en arriver là. Un job de merde plutôt bien payé vu le contexte économique mais dont il peinait à percevoir l’utilité. A la fin de la journée, il aurait été bien incapable d’expliquer l’intérêt des taches qu’il avait effectué, plutôt rapidement d’ailleurs, ce qui l’obligeait à passer son temps sur internet pour remplir ses journées vides de sens, comme quelques-uns de ses collègues dont il croisait parfois le regard vagabond avant que chacun ne reprenne son rôle de travailleur concentré. Ce profond sentiment d’inutilité était renforcé par son pouvoir de monstre de foire qui le séparait du reste de l’humanité et qu’il n’avait jamais pu réellement mettre à profit. Il se sentait condamné à une petite vie minable d’employé supérieur de bureau, un destin misérable de faiseur de powerpoints voire de sous-manager d’une grande compagnie. Sa seule issue semblait un vague projet de création d’entreprise (mais dans quel secteur ?) pour lequel il n’aurait sans doute pas le courage de travailler comme un chien, jusqu’à cet après-midi béni où en naviguant sur les sites d’information il apprit qu’il n’était pas seul et que mieux, il était un « super ». Ce fut une véritable épiphanie qui changea sa vie et qui accessoirement le poussa à démissionner.
04 2012, au siège de Vanguard
Il fait face au jury, debout dans l’immense salle. « Monsieur Holme, parlez-nous s’il vous plait de vos défauts » lance un costard cravate. Chester semble réfléchir quelques secondes avant de répondre, comme s’il ne s’était pas attendu à la question : « Peut-être ma loyauté. Pour un super qui postule chez Vanguard, je ne sais pas si c’est un défaut mais ça m’a joué des tours dans la vie. Je fais toujours passer la loyauté avant le reste, je suis comme ça, même si ça m’a fait rater des opportunités. » Une nouvelle pause, puis il reprend : « Et j’aime amuser la galerie. Alors attention, amuser la galerie n’est pas incompatible avec le fait d’être professionnel. Je suis persuadé qu’on peut bien faire son travail, et même très bien faire son travail, tout en restant convivial avec les clients et les collaborateurs. Mais certains ne sont pas de cet avis et c’est dommage. » La confession ne provoque aucune réaction alors le super enchaine : « Ah oui, j’ai aussi un petit côté maniaque. J’aime le travail bien fait, l’attention porté aux détails. Ca peut créer des tensions avec certains collaborateurs dont la rigueur n’est pas la qualité première. Ca commence à faire beaucoup de défauts, je sais. Mais je peux aussi faire preuve d’une extrême agilité quand il le faut. »
05 2017, dans un restaurant à la mode de Burton Ridge
Henry, le sous-directeur du pôle communication de Vangard, monopolise la parole et les abreuve de potins. Qui couche avec qui, la dernière blague sur le général, la soufflante que s’est prise un super un peu trop arriviste… Le guard écoute et rit aux saillies du collègue, contrairement à Jade, sa copine du moment, qui semble faire la gueule pour une raison inconnue, une raison qui n’intéresse d’ailleurs guère Chester. En face de lui, Julia la femme d’Henry sourit en observant du coin de l’œil la guerre froide que se livre le couple. C’est une femme discrète et raffinée qu’il connait bien. Tellement bien que lorsque Jade part aux toilettes, il allonge son bras gauche sous la table et pose délicatement sa main sur la cuisse de Julia, un sourire de défi aux lèvres. Surprise, elle croise son regard, lève légèrement un sourcil qui semble lui dire « est-ce bien le moment et l’endroit ? » mais se laisse faire pendant que son mari continue à raconter ses histoires.
06 Octobre 2020, un dimanche soir dans son loft à Burton Ridge
Chester vient d’ôter sa combinaison de contention, qui l’aide à reprendre une forme normale après avoir trop utilisé son pouvoir, et s’affale mollement dans le large canapé du salon. Il se sent complètement raplapla après cette longue mission éreintante en Colombie, où Vanguard a mis en scène l’alliance des 10 aux forces spéciales américano-colombienne face aux multinationales du crime et autres narco-trafiquants locaux. Une belle opération publicitaire dans laquelle il n’a hélas pas joué le premier rôle. Peper se love contre sa jambe droite et ronronne pour recevoir quelques grattouilles après plusieurs jours de solitude dans le grand appartement vide. Las, le super caresse distraitement le vieux matou en consultant les derniers mails de Penny, son community manager. Il donne de grands coups de molettes pour zapper ses veilles quotidiennes des réseaux sociaux et ouvre une pièce jointe. Il s’agit d’une synthèse de l’abondante correspondance qu’il reçoit quotidiennement de la part de ses nombreux fans. Là encore, c’est en diagonale qu’il parcourt le document, jusqu’à tomber sur la photo d’une jeune femme. Le mail qu’elle lui a envoyé est passablement insipide, comme toute candidature spontanée un tant soit peu sérieuse, mais quelque chose dans son regard attire son attention. C’est tout à fait son style de femme alors pourquoi pas… Demain, Penny lui proposera un stage.
Les chiens étaient à leurs trousses et désormais c’était chacun pour soi. En explorant en pleine nuit le vieux manoir inhabité avec 2 copains, dont Tom chez qui il était censé dormir ce soir, Chester ne pensait pas s’attirer les foudres du gardien. Normalement, le gardien aurait dû dormir à poings fermé dans sa dépendance. Et normalement, ses chiens auraient dû être enfermés au chenil. C’est ce qui était prévu et c’est ce qui devait leur permettre une incursion tranquille dans le manoir qu’on disait hanté. Mais voilà que rien ne se passait comme prévu et qu’il courait à toutes jambes pour quitter au plus vite le domaine. Tom et ses plans foireux… A bout de souffle, Chester arrive à une grille haute de 3 mètres au moins. Dans la panique, il tente en vain d’escalader les barreaux glissants avec ses mains moites, tandis que les aboiements se rapprochent. C’est bien lui que la horde poursuit et il n’a jamais eu aussi peur de sa vie. En désespoir de cause, il essaye de passer entre les barreaux. Si seulement sa tête n’était pas si grosse… Il se retourne, voit un chien se jeter sur lui et sa nuque est comme aspirée par l’acier. Lorsqu’il se relève, il est passé de l’autre côté de la grille. Inexplicablement, Chester est maintenant hors d’atteinte des chiens qui aboient de plus belle et montrent les crocs derrière la clôture. Il ne demande pas son reste et s’enfuit loin dans la nuit.
« Répète un peu pour voir gringalet ? » Le bloqueur des Great Danes d’Albany n’appréciait pas du tout la plaisanterie de Chester. Elle avait pourtant fait rire l’assistance, tout le monde s’était esclaffé sauf ce grand gaillard qui faisait facilement 40 kg de plus et qui plombait méchamment l’ambiance de la soirée. Pas question pourtant de baisser son froc en s’excusant, pas devant Clara et Kristen qui elles riaient à toutes ses blagues, même les plus nulles. « C’est ça ta répartie ? (il l’imite grossièrement) Répète un peu pour voir gringalet ? Tu peux pas faire mieux ? Je sais qu’on vous apprend plus à foncer dans l’tas qu’à vous vous exprimer finement chez les Danes mais quand même… » Le footballeur s’était rapproché de Chester, faisant monter la tension d’un cran. Pour ne rien arranger, ils étaient aussi éméchés l’un que l’autre. « Arrête de faire ton malin. Et répète ce que t’as dit si t’as des couilles. » Chester répond par son sourire le plus narquois, un sourire de petit con qui lui vaut sans préavis une grosse mandale en pleine poire. Cette mandale l’aurait facilement envoyé au tapis si son pouvoir ne l’avait pas aidé à encaisser le choc. Surpris de l’étrange sensation qu’il ressentit lors de l’impact, comme lorsqu’il cognait un punchingball à la salle, l’armoire à glace hésite à en remettre une deuxième, juste le temps qu’il fallait à Chester pour se jeter sur lui et les faire tomber à terre. La suite est plus confuse et on les sépara rapidement sans qu’un vainqueur par ko ou aux points puisse être désigné. Mais Chester avait gagné dans l’histoire une solide réputation de bagarreur, de gringalet « qui en avait », et c’était bien là l’essentiel.
Cela avait commencé comme n’importe quelle journée de merde. Les embouteillages, le commentaire acerbe de son manager sur ses 14 minutes de retard, le café dégueulasse. Et il s’était mis au boulot ou plutôt avait fait semblant de s’y mettre. 5 ans d’études, un master’s degree en marketing et 10 ans de dettes à rembourser pour en arriver là. Un job de merde plutôt bien payé vu le contexte économique mais dont il peinait à percevoir l’utilité. A la fin de la journée, il aurait été bien incapable d’expliquer l’intérêt des taches qu’il avait effectué, plutôt rapidement d’ailleurs, ce qui l’obligeait à passer son temps sur internet pour remplir ses journées vides de sens, comme quelques-uns de ses collègues dont il croisait parfois le regard vagabond avant que chacun ne reprenne son rôle de travailleur concentré. Ce profond sentiment d’inutilité était renforcé par son pouvoir de monstre de foire qui le séparait du reste de l’humanité et qu’il n’avait jamais pu réellement mettre à profit. Il se sentait condamné à une petite vie minable d’employé supérieur de bureau, un destin misérable de faiseur de powerpoints voire de sous-manager d’une grande compagnie. Sa seule issue semblait un vague projet de création d’entreprise (mais dans quel secteur ?) pour lequel il n’aurait sans doute pas le courage de travailler comme un chien, jusqu’à cet après-midi béni où en naviguant sur les sites d’information il apprit qu’il n’était pas seul et que mieux, il était un « super ». Ce fut une véritable épiphanie qui changea sa vie et qui accessoirement le poussa à démissionner.
Il fait face au jury, debout dans l’immense salle. « Monsieur Holme, parlez-nous s’il vous plait de vos défauts » lance un costard cravate. Chester semble réfléchir quelques secondes avant de répondre, comme s’il ne s’était pas attendu à la question : « Peut-être ma loyauté. Pour un super qui postule chez Vanguard, je ne sais pas si c’est un défaut mais ça m’a joué des tours dans la vie. Je fais toujours passer la loyauté avant le reste, je suis comme ça, même si ça m’a fait rater des opportunités. » Une nouvelle pause, puis il reprend : « Et j’aime amuser la galerie. Alors attention, amuser la galerie n’est pas incompatible avec le fait d’être professionnel. Je suis persuadé qu’on peut bien faire son travail, et même très bien faire son travail, tout en restant convivial avec les clients et les collaborateurs. Mais certains ne sont pas de cet avis et c’est dommage. » La confession ne provoque aucune réaction alors le super enchaine : « Ah oui, j’ai aussi un petit côté maniaque. J’aime le travail bien fait, l’attention porté aux détails. Ca peut créer des tensions avec certains collaborateurs dont la rigueur n’est pas la qualité première. Ca commence à faire beaucoup de défauts, je sais. Mais je peux aussi faire preuve d’une extrême agilité quand il le faut. »
Henry, le sous-directeur du pôle communication de Vangard, monopolise la parole et les abreuve de potins. Qui couche avec qui, la dernière blague sur le général, la soufflante que s’est prise un super un peu trop arriviste… Le guard écoute et rit aux saillies du collègue, contrairement à Jade, sa copine du moment, qui semble faire la gueule pour une raison inconnue, une raison qui n’intéresse d’ailleurs guère Chester. En face de lui, Julia la femme d’Henry sourit en observant du coin de l’œil la guerre froide que se livre le couple. C’est une femme discrète et raffinée qu’il connait bien. Tellement bien que lorsque Jade part aux toilettes, il allonge son bras gauche sous la table et pose délicatement sa main sur la cuisse de Julia, un sourire de défi aux lèvres. Surprise, elle croise son regard, lève légèrement un sourcil qui semble lui dire « est-ce bien le moment et l’endroit ? » mais se laisse faire pendant que son mari continue à raconter ses histoires.
Chester vient d’ôter sa combinaison de contention, qui l’aide à reprendre une forme normale après avoir trop utilisé son pouvoir, et s’affale mollement dans le large canapé du salon. Il se sent complètement raplapla après cette longue mission éreintante en Colombie, où Vanguard a mis en scène l’alliance des 10 aux forces spéciales américano-colombienne face aux multinationales du crime et autres narco-trafiquants locaux. Une belle opération publicitaire dans laquelle il n’a hélas pas joué le premier rôle. Peper se love contre sa jambe droite et ronronne pour recevoir quelques grattouilles après plusieurs jours de solitude dans le grand appartement vide. Las, le super caresse distraitement le vieux matou en consultant les derniers mails de Penny, son community manager. Il donne de grands coups de molettes pour zapper ses veilles quotidiennes des réseaux sociaux et ouvre une pièce jointe. Il s’agit d’une synthèse de l’abondante correspondance qu’il reçoit quotidiennement de la part de ses nombreux fans. Là encore, c’est en diagonale qu’il parcourt le document, jusqu’à tomber sur la photo d’une jeune femme. Le mail qu’elle lui a envoyé est passablement insipide, comme toute candidature spontanée un tant soit peu sérieuse, mais quelque chose dans son regard attire son attention. C’est tout à fait son style de femme alors pourquoi pas… Demain, Penny lui proposera un stage.
Pseudo/prénom Chester Age Très jeune (comme l'admin qui me tanne depuis des semaines pour que je m'inscrive ici) Pays France Commentaire Aucun commentaire Autres comptes Non Crédits Non plus. Tout ce que j'ai posté ou posterai est issu de mon cerveau malade (et parfois d'autres cerveaux malade des internets).
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