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Plus que « dasvidaniya » | Alexeï
Make A Difference :: 03 Astoria :: Southwood :: Habitations
Maya Wilcox
Maya Wilcox
salé comme un saucisson
Âge : 31 ans
Supers : Apparition de la peur
Occupation : Traductrice (espagnol, anglais, français) pour des indépendants & casse-cou à temps perdu
Habitation : Southwood, dans un grand studio au deuxième étage d'un immeuble d'une vingtaine de logements
Va aux réunions de We matter too
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https://makeadifference.forumactif.com/t186-people-don-t-underst
Mer 18 Nov - 3:28 #
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Plus que « dasvidaniya »
Alexeï & Maya

Maya se prépare pour le premier cours de russe qu'elle va avoir. Enfin, se préparer... elle prépare son appartement, qui se résume à une pièce et la salle de bains. Elle libère surtout sa table à manger qui sert surtout de débarras puisqu'elle mange la plupart du temps devant son ordinateur. Elle met le tout sur son canapé, le pousse encore plus contre son lit pour pousser un peu la table et ses chaises pour qu'il y ait un peu plus d'espace, fait sommairement son lit. C'est à peu près tout ce qu'elle peut faire. Elle met quelques crayons et des papiers, ne sachant pas trop comment Alexeï va fonctionner. Ce qui est normal, puisqu'elle ne le connait pas, elle ne l'a vu qu'une fois.  Elle n'a pas peur qu'il vienne chez elle. Enfin, elle n'a pas peur, en général. Ce que son pouvoir lui impose ce n'est pas la même chose. À moins qu'il ne se transforme en fourmi ça devrait aller (c'est plus facilement gérable que d'autres peurs). Inviter un homme comme ça chez elle, ce n'est pas la première fois. Ce n'est pas parce qu'elle ne le fait pas vraiment depuis que son pouvoir a décidé d'apparaitre qu'elle va commencer à s'inquiéter. Elle sait très bien se défendre et n'est pas du genre à être paralyser par l'effroi. Au pire, elle se jette par sa fenêtre, elle sait comment atterrir. Au pire des pires, elle enlève ses gants. Plusieurs plans, moyens, mais aucune inquiétude. Cela ne lui passe même pas par la tête de se dire que c'est imprudent.

Bref, elle l'a rencontré dans un bar, par hasard, buvant lentement son cocktail ayant rarement le droit à plus niveau alcool sans que les effets secondaires de son pouvoir ne se déclenchent. Elle était avec une amie qui venait de partir à la salle de bains lorsqu'elle a entendu Alexeï parler russe, ou l'idée qu'elle se fait du russe selon le peu qu'elle en sait. Elle s'est mise à lui parler et de fil en aiguille cela s'est transformé en futur cours de russe. Elle ne pense pas le mêler avec l'italien, langue qu'elle apprend en ce moment. Leur base n'est pas vraiment identique, tout comme celles des autres langues qu'elle connait déjà. De toute façon, elle prend ses cours d'italien en ligne, à son rythme, à quelqu'un à contacter en cas de besoin. Là, en personne, elle va donner la priorité. Tout du moins, si cela fonctionne bien. Peut-être qu'elle va être une mauvaise élève, ce qui ne serait pas surprenant, elle en a toujours été une plus au moins. Pas grand-chose ne l'intéressait sauf bouger. Ce qui est encore souvent le cas aujourd'hui.

Elle enfile rapidement un gant, ouvre la porte tout en mettant le deuxième. « Salut ! » Elle se met sur le côté pour le laisser passer, referme la porte derrière lui. « J'savais pas trop comment tu enseignais, alors j'ai fait de la place sur la table... mais sinon je peux tout enlever du canapé et on peut y aller. » Un ou l'autre puisque les deux c'est compliqué avec la grandeur de son appartement.
Alexeï Karkarovish
Alexeï Karkarovish
Rang super naze
Âge : 48 ans (réel) / 34 ans (physique)
Supers : Béhémoth - Régénération instantanée
Occupation : Mercenaire
Habitation : Southwood
Plus que « dasvidaniya » | Alexeï K0k2
- Plurilingue : russe, anglais, arabe et latin
- Carrière : 22 ans d'armée, 5 ans de mercenariat
- Loisirs : lecture et sport
- Radioactif : 50msv (représente 15 fois la dose reçue par an)
Jeu 19 Nov - 21:11 #
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Plus que « dasvidaniya »

Je n’avais jamais eu pour assuétude d’être si prompt à accepter des invitations, fussent-elles de la part d’une jeune femme à la beauté parfaite. Même sans aucun sous-entendu, il n’y avait à ce rendez-vous, rien de relationnel au sens intime du terme. Dire que j’allais être professeur d’une traductrice rencontré au détour d’un bar n’était certes pas des alibis les plus crédibles, mais représentait actuellement la vérité. Cela n’allégeait en rien l’indescriptible sensation de malaise qui m’avait suivi comme un spectre durant toute ma journée de préparation à mes futurs devoirs éducationnels. Qui le crut ? Ce n’était pourtant pas mon premier contact féminin et je n’étais guère des plus romantiques… Peut-être que Astoria avait réveillé en moi, des émotions sensibles. Dans tous les cas, j’avais toutes les intentions de rester professionnel.

Je n’étais pas plus juge des modestes appartements que j’avais visité, que des apparences, et c’était bien pour cela que j’avais répondu sans coup-férir à la jeune femme et sa proposition saugrenue. Je n’avais jamais vraiment eu de réflexion posé sur mes compétences d’instituteur, mais après tout, j’avais certaines capacités lié à l’apprentissage. Si l’armée m’avait apprit bien des choses, c’était que l’adaptation était la clé à toutes les situations, des plus désespérées aux plus simples. Maya Wilcox n’était pas un défi que je m’apprêtais à relevé les mains vides. N’étant pas équipé des dernières technologies, choix guidé par une paranoïa affirmée des risques d’une fuite de ma nouvelle identité, il fallait donc en revenir aux bases les plus solides. Le papier était un format tout aussi utile et parfois même mieux lotis en termes de données… Surtout lorsqu’il faut les effacer.

Si j’avais des doutes quant à mes réelles habiletés concernant les langues, je n’avais rien à perdre à essayer. Le ridicule ne tue pas et je pouvais bien tenter, si cela permettait une relation bénéfique sur le long-terme. J’avais pris mes dispositions quant aux potentiels profils intéressant de Southwood et, quoi que je ne connaissais pas grand-chose de cette dernière, j’étais certain qu’elle serait d’une certaine utilité, dans des moments opportuns bien choisit. Rares étaient les individus en ses lieux, dont l’inutilité était avérée. C'est ainsi que pochette et classeur sous le bras, je me tenais désormais devant la porte fermée de ma future élève. Je pris la peine de toquer contre le bois dur, car la plupart des sonnettes étaient tout simplement dysfonctionnelles, lorsqu’elles n’étaient pas juste complètement obsolètes.

Posture droite et assurée, je portais mes iris d’acier à la rencontre de la jeune femme qui venait d’ouvrir accès à son appartement. Au vu de notre précédente conversation, je ne m’attendais à faire dans la dentelle, aussi, je préférais rentrer directement dans le vif du sujet.
- « Mademoiselle Wilcox. »
D’un simple signe de tête, je la saluais, succins. Je ne pouvais pas faire plus simple et, sincèrement, je n’avais pas nécessairement besoin de plus. J’attendis son incitation, avant de pénétrer dans sa demeure, aussi petite qu’elle fusse. J'eu à peine un regard pour la vétusté des lieux. Nous étions tous, a la même enseigne, d'une manière ou d'une autre. Je prenais cependant la peine d'observer, sans hâte, mais sans dévisager, mon hôte.

Je pris l'opportunité de déposer mes affaires sur la table, avant de prendre mes aises. La pièce serait largement suffisante, ce n’était pas comme si nous allions faire une conférence.
- « Ne vous inquiétez pas, cela suffira largement. Cela étant dit, pour en venir aux faits, quelles sont vos capacités dans les dialectes scandinaves ? »
Alexeï Karkarovish
The Lord may give and take,
The Beast will take to give.
Maya Wilcox
Maya Wilcox
salé comme un saucisson
Âge : 31 ans
Supers : Apparition de la peur
Occupation : Traductrice (espagnol, anglais, français) pour des indépendants & casse-cou à temps perdu
Habitation : Southwood, dans un grand studio au deuxième étage d'un immeuble d'une vingtaine de logements
Va aux réunions de We matter too
Plus que « dasvidaniya » | Alexeï Tumblr_ny3b7tYwJl1uhtcnqo1_540
https://makeadifference.forumactif.com/t186-people-don-t-underst
Dim 22 Nov - 19:21 #
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Maya cligne des yeux, c'est... très poli de sa part mais ce n'est pas trop son genre. « Maya... juste Maya. » fait-elle, secouant la tête et riant. Mademoiselle Wilcox... ahem. Elle n'est pas assez à cheval sur la politesse pour vouloir qu'on la nomme comme ça même s'ils ne se connaissent pas. Il faut espérer qu'il ne le soit pas trop, car il risque d'être choqué. Elle agit souvent avec tout le monde comme s'ils avaient élevé les cochons ensemble. Elle sait que tout le monde n'est pas à l'aise avec cela, elle y pense... seulement quand on lui dit qu'elle est un peu trop familière et elle essaie de faire attention par la suite. Sinon, cela ne lui vient pas en tête. Elle referme la porte derrière lui et se dirige vers sa table puisqu'il compte l'utiliser. Un instant plus tard, elle s'installe sur une chaise, prête à apprendre. « Hum... » Cela commence bien. Cela montre aussi son niveau : pas très élevé. « Da, nyet, dasvidániya... » Est-ce qu'elle sait autre chose ? Elle réfléchit quelques secondes, non, rien celui vient en tête à part cela. Ah, peut-être. « et un crush sur Dimitri dans Anastasia ? » Très important niveau dialecte. Elle ne sait pas trop en quoi par contre. Qu'elle peut se dévouer et regarder Anastasia en russe ? Oh, tient, pourquoi elle ne l'a pas fait ? Cela aurait été un bon moyen. Plus tard. Bon, ce n'est pas un film russe à la base, alors peut-être que ça ne compte pas vraiment.

Sinon, elle connait probablement les trois mots les plus populaires de cette langue. Rien de très original, mais elle ne s'y est jamais vraiment arrêtée avant. Et son accent doit être horrible à présent qu'elle y pense un peu. Tant pis, elle est avec Alexeï pour apprendre. Il ne doit sûrement pas s'attendre à ce qu'elle sache tout dans l'immédiat et qu'elle veuille seulement réviser Enfin, si c'est le cas, il va être déçu... car il va devoir bien lui enseigner pour pouvoir être payé. Elle ne se rappelle pas lui avoir dit qu'elle voulait réviser, mais apprendre. M'enfin, c'est clair à présent. « Tu as besoin du wifi ? » Elle ne connait pas ses méthodes, il a peut-être tout sur internet. Elle peut lui donner le code du sien sans problème s'il ne veut pas utiliser ses données. « Ou mon ordi ? » Cela ne lui dérange pas non plus, tant qu'elle apprend. Il aurait pu l'amener, mais parfois ce n'est pas toujours pratique à transporter, c'est relativement fragile. Malgré ses propositions, elle est prête à commencer. Ce n'est pas un moyen de retarder le tout, elle veut juste s'assurer qu'il ait tout ce dont il a de besoin pour lui enseigner.
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