Make A Difference
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

The beast of the earth | Alexeï
Make A Difference :: 02 Personnages :: Présentations :: Fiches validées
Alexeï Karkarovish
Alexeï Karkarovish
Rang super naze
Âge : 48 ans (réel) / 34 ans (physique)
Supers : Béhémoth - Régénération instantanée
Occupation : Mercenaire
Habitation : Southwood
The beast of the earth | Alexeï K0k2
- Plurilingue : russe, anglais, arabe et latin
- Carrière : 22 ans d'armée, 5 ans de mercenariat
- Loisirs : lecture et sport
- Radioactif : 50msv (représente 15 fois la dose reçue par an)
Lun 9 Nov - 14:40 #
.

Alexeï
Karkarovish



Ft. Stephen Amell

Nom Karkarovish
Prénom Alexeï
Alias Béhémoth
Date de naissance, âge 26 avril 1972 – 48 ans réel, 34 ans physique
Origines, nationalité Prypiat, Ukraine – Russe
Vie personnelle Célibataire
Occupation Mercenaire
Habitation Southwood – vieille ville
Personnalité Égoïste, manipulateur, amer, pessimiste et lâche... Loyal, stoïque, pragmatique, chevronné et avenant. Oui, Alexeï est bien toutes ses choses, pourtant, il est bien plus que de simples mots ne pourraient le dire. Derrière son expérience et son zèle, l'homme meurtri par la vie. Caché sous les traits de sa haine pour Dieu, une innocence oubliée et perdue. De son égoïsme primaire, une survie durement arrachée au prix de terribles pertes. À travers son esprit marionnettiste, la peur de souffrir à nouveau.

C'est une créature complexe et paradoxale, qu'est Béhémoth. Lui, dont les paroles de serpent sont métaphoriques, avant d'être littérales. Lui, dont le cœur malmené à oublié la douceur que peu apportée un contact amical sans arrières-pensées. Si la guerre lui a fait oublié de ressentir des émotions et, si la vie lui en a trop donné, il est arrivé à un point aujourd'hui ou il préfère ce cacher derrière un masque de tragédie, plutôt que de montrer la bête immonde qui se cache dans son corps distordu. Il s'aime autant qu'il se hait, Bête rampant ventre à terre pour survivre chaque jour, avec au-dessus de lui, les visages du passé qui le hante.

Vertueux dans son malheur, malchanceux dans sa vertu. Pour autant, l'homme qu'il est cherche à comprendre les citadins de cette ville sans jamais juger, lui, qui se sait déjà plus terrible que tous les autres. La dignité, comme l'honneur ne sont que des excuses pour les faibles, afin de justifier leurs manques d'inactions et seuls les forts, peuvent continuer à survivre dans un monde ou la loi du plus fort prévaut. Ainsi, la moralité du commun des mortels n'est que poussière dans le vent de ses idéaux, lui qui ne rêve plus que de monde en feu et en flamme.

Lui, qui ne rêve plus que de fermer les yeux, sans avoir à les ouvrir à nouveau. Sans en avoir la bravoure, de le faire de sa propre main. La nuit dans l'obscurité solitaire de ses pensées troublées, il prit que les démons dont il fait partis, vienne à bout des dernières défenses humaines, pour enfin vivre en paix ou en guerre. Chaque jour, il se regarde dans le miroir, et prit pour quitter l'ennui d'une vie, qu'il sait déjà détruite.
Pouvoir Régénération instantanée
Description Le corps humain est une entité possédant deux cent six os, six cent trente-neuf muscles, cent milliards de cellules et deux cents types cellulaires différents. Parmi elles, se trouvent des cellules-souches. Elles sont les responsables de notre naissance, puisqu’elles sont celles qui permettent de créer de A à Z, un être humain. Dans toute cette organisation un peu hasardeuse, se trouvent les cellules pluripotentes, qui sont des cellules capables de se multiplier à l’infini et de se différencier en types de cellules qui composent un organisme adulte. Elles sont facilement accessibles et en quantité illimitée.

Ses cellules dans un corps humain normal, sont responsables de bien des choses que nous n’énumérerons pas ici, car nous allons nous concentrer sur leurs facultés améliorées lorsqu’elles se trouvent chez un Super tel que moi. En effet, ses cellules ont la grande particularité de permettre à l’homme de ne pas vieillir excessivement vite, en régénérant l’ADN dégradé par le processus de sénescence (détérioration des cellules). Dans le cadre de ma mutation, cette capacité à développée des compétences extrémophiles, les rendant résistantes à tous types de destruction des cellules et par conséquence, le vieillissement, bloquant les traits et le corps à l’âge de déclaration de ma capacité.

I – Points forts :
Les dégâts bruts comme chocs, impacts, coups et autres dégâts physiques internes ou externe du type, ne pourrons en aucun cas causer la mort. Les coupures, blessures et autres écorchures seront soignés sans tissus cicatriciels apparents et permettrons le rejet immédiat de tous corps étrangers logés dans les plaies et autres problèmes du même genre. Les attaques au feu et à l’acide même en cautérisant les plaies ou en faisant fondre la chair, n’empêcherons pas la régénération des tissus endommagés. Les maladies et poisons s’en prenant directement à mon corps ne progresseront pas plus qu’au début symptomatiques pour les plus faibles, soit le stade primaire et ne pourront jamais aller plus loin que celui-ci. Les cas les plus forts seront interrompus dans leurs avancées au stade terminal, mais seront incapables de progresser au-delà.

II – Points faibles :
Cette surproduction envahissante, n’immunise pas contre la douleur cela dit, et bien quelle soit capable de m’empêcher de souffrir de maladie incurable à soignant les parties du corps endommagées par ses dernières et de même pour les maladies, la souffrance sera présente. Un empoisonnement mortel ne me tuera pas, mais sans anti-venin approprié, c’est une longue et lente agonie qui m’attend.

Outre les faits précédemment cités, je ne suis pas à confondre avec un immortel. Par ma capacité rapide de régénération instantanée, on pourrait en venir à croire que c’est le cas. Contrairement à un être immortel, ce pouvoir à besoin de quatre grandes choses immuable pour vivre. La première est l’oxygène. Si je suis en manque d’oxygène, la capacité est ralentie, car elle n’a plus rien pour être alimenter en riche air, bien qu’il soit nécessaire de maintenir cette absence sur les dix minutes de mort du cerveau. Il faut également de l’eau et de la nourriture. L’absence de l’un ou de l’autre, provoquera comme à tout être, la mort. La fatigue est aussi un facteur impossible à ignorer. Mourir de fatigue reste une possibilité, sans repos approprié.

Il ne faut également pas oublier que certaines maladies ou poisons, et même certaines drogues, n’endommagent pas le corps et résultent davantage de paralysie, chose contre laquelle la régénération instantanée ne me protégera pas. Un arrêt cardiaque causé par une paralysie momentané du cœur, ne pourra donc pas être remis en fonction par ma simple capacité. Mourir noyé ou asphyxié, peu importe la méthode est également fonctionnel. Il ne faut également pas oublier que le sang peu certes être remplacé sur le long terme par le corps, mais une perte trop grande sur un court lapse de temps pourra être aussi fatal que sur n’importe qui.

Cette capacité étant passive, je n’ai aucun contrôle sur cette dernière. Elle obéit à ses propres règles et lois génétiques et bien que je ne connaisse pas tout les tenants et aboutissants, elle se montre très efficace dans sa tâche.

Recensé Non

01 —
Dieu nous a envoyé ses anges déchus sur Terre pour ce débarrassé des "déchets" au Paradis. Ses Supers, sont des hérauts de la "bête de la mer", ils annoncent une nouvelle ère et un futur que seule cette dernière peu connaître. Je suis leur prophète et leur gardien, je me dois de les protéger, et d'agir en berger pour toutes les brebis égarées. Mon opinion sur la matière, n'a aucune importance, car seule la Bête à voix au chapitre.

02 —
Un monument de commémoration n'a pas pour but de transformer les victimes en martyr de la société ou de glorifier les messagers de la Bête. Son but premier est le devoir de mémoire, à ce titre, je ne partage aucune de ses opinions si naïves. Avant tout, cette commémoration doit nous permettre de nous rappeler que même dans les plus sombres moments de nos vies, une lumière sera toujours là pour éclairée nos pas, peu importe qu'elle provienne d'un simple humain ou d'un Super.

03 —
Quoi qu'il soit difficile de prévoir sur cinq ans les avancées sociales et relationnelles, l'Histoire nous a apprit que la plupart des minorités, quelles soient ethniques ou religieuses ont toujours étaient persécutées. Les conflits les concernant ne se sont jamais soldés autrement que dans des bains de sang et, plus tard, dans des persécutions et des attaques incessantes. Je n'ai que peut d'espoir pour une relation positive entre Hommes et Supers. Les anti-supers seront sans doute plus virulents encore et la dégradation progressive de la réputation des Supers n'aidera sans doute pas. Il est fort probable que nous allions vers une répression gouvernementale des Supers et peut-être, vers une guerre civile. Je ne vois rien, dans notre futur, qui nous octroie la possibilité d'être optimiste.

La bête de la terre


01Ce qui est passé est passé, ce qui est fait est fait
1986, Ukraine (Fédération de Russie)
Encore brebis innocente, j’ai vécu dans le berceau sacré de la lumière du Tout-puissant. Notre famille priait notre Seigneur, sous le vœu du silence, car ici, en Russie, on ne vénère d’autre Dieu que la Mère Patrie. Nous vivions à Pripiat, dont le nom aujourd’hui maudit, ravivait la flamme infernale de souvenirs enfouis. Notre foyer était modeste et nos revenus faibles. Ma mère comme toute femme de cette époque, était gouvernante de la maisonnée tandis que mon père était ouvrier, travaillant à la centrale nucléaire de Tchernobyl, dont le nom nous fera bientôt trembler.

Pourtant, mon enfance fut des plus simples et vides qu’ils vous serez donnés de voir, je suis allé à l’école comme tout enfant et, lorsque personne ne regardait, j’exprimais mon amour pour Dieu, dans le silence contraint, sous le règne de la Fédération de Russie. Ma vie de jeune garçon se passa dans la pieuté la plus totale, car ma mère fervente femme de foi, voyait en Dieu notre sauveur en tous. Mon père quant à lui, ne jurait que par le monstre d’acier, qui dominait à trente kilomètres de notre ville, un monde en pleine évolution.  

Ce ne fut ni Dieu, ni mes parents, qui nous sauvèrent de cet enfer. J’avais quatorze ans, lorsque le drame arriva. Le coup de tonnerre retentit dans le fracassant silence de notre ville encore assoupie. Nous fûmes pris aux sauts de nos lits, la ville entière évacuée. Ce son, il résonne dans votre esprit, il écrase vos tympans avec tant de force, qu’il vous réveille en sursaut. Loin de nous, la centrale en flamme et ses réacteurs, lentement en surchauffe dépérissant à petit feu. Et mon père, lui, mourut dans le brasier, nous n’aurions pas même son corps à enterré. Je ne vis pas plus l’ombre de son cercueil que les dédommagements que le gouvernement nous devait.

Nous quittâmes le cœur lourd et l’âme en peine Pripiat, qui m’avait vu grandir et mûrir. Pourtant en mon esprit à jamais brisé par cette horreur qui n’avait rien de qualifiable, une colère sourde et une amertume acide remontait déjà mon esprit. Ce fut le premier jour de ma vie où Dieu fut invectivé pour n’avoir rien fait, lui qui devait d'être d'amour et de clémence. Il ne sera pas le dernier.

02La porte est fermée, les rideaux sont tirés
1990, Russie
Nous fûmes livrés à nous-mêmes, car il nous avait était impossible de récupérer le moindre bien de notre ancienne vie perdue dans la radioactivité désormais mortelle qui régnait dans le foyer. Personne ne parlait de cette folie et le gouvernement, fidèle à ses convictions faisait à même titre que nous, vœu de silence… Je me demandais sincèrement depuis plusieurs années si Dieu n’était, ne serait-ce, que préoccuper par ses agneaux. Eux qui le graciaient de leurs croyances et de leurs rêves. Les miens furent détruits le jour où il laissa mon père, homme bon et saint, mourir dans les flammes de l’enfer de la bête de béton et de fer. Je cessais de prier son nom quelques mois seulement après la disparition de mon modèle, quant à ma mère, elle ne m’en empêcha pas. Je l’entendais pleurer tous les soirs, en demandant un signe du Seigneur.

Je sais désormais, qu’il ne répondra jamais. Il n’a que faire des plaintes et des demandes de ses sujets. J’ai jeté le chapelet qui m’avait était offert lorsque j’avais douze ans, par le feu. De quelle utilité m’était-il, de toute manière ? J’étais encore trop jeune pour me rendre compte de la rancœur pugnace qui m’habitait, comme un vicieux serpent enserrant mes vices. J’apprendrais plus tard, que ce sentiment est appelé Haine.

Ma mère mourut lorsque j’eus dix-huit ans. J’ignorais encore à ce moment-là, la raison même de ce décès prématuré, mais de nombreuses recherches ainsi que nombres d’articles me feront comprendre que la radioactivité l’avait achevée. Je ne fus pas affecté par celle-ci, quand bien même j’aurais dû l’accompagné dans la tombe. Ma capacité de régénération était déjà présente, elle me sauva sans doute plusieurs fois, mais à cette époque, j’ignorais jusqu’à son existence.

Jeune, désemparé et désespéré, je n'avais ni sous ni rêves. Dans une époque trouble comme la mienne, les jeunes gens sans foi ni lois n'avaient que deux solutions pour survivre : le crime ou l'armée. J'en choisis le moins condamnable des deux, rejoignant ainsi les rangs des soldats. Dans cette géante Russie, où l’ombre de la guerre planait comme un corbeau au-dessus d’un corps. Nous étions des démons à son service, ici-bas, car nous étions tous désormais de la même trempe, de la même force, de la même entité. Des millions, en un seul être. Une armée à hauteur de la grandeur de cette immensité vide, où les saisons si tentées qu’elles soient plus douces, étaient tout aussi infernale.

Ils nous brisèrent, pour nous reformater, pour que nous devenions des pantins articulés, qui agissaient sur ordres, peu importait si celui-ci fusse suicidaire ou s’il n’avait pas de sens. Nous étions des moutons, nous étions de la chair à canon. Oh, bien entendu, j’étais conscient de ma condition. Mais qu'est-ce que cela pouvait bien changer ? Nous étions tous voués à brûler en enfer, désormais.

03Le pays qu'on ne verra plus jamais
1992, Tadjikistan
Le champ de bataille est vallonné ici, habitué des grands espaces et des plaines, le combat à vite tourner au massacre. Ils ont l’avantage du terrain, nous avions le nombre de notre côté. Les combats en montagnes sont d’autant plus durs, que la neige forme des congères bloquant la vu. Nous n’avions pas l’équipement adéquat, faire monter les canons à cette hauteur était une horreur indescriptible, les hommes peinant à pousser les cent kilos de métal et de bois sur des montées qui parfois, empêchait même les chevaux de tracter, leurs sabots glissant sur le givre. Nous n’avions pas encore atteint les sommets, que nous étions déjà à bout, les cols nous forçant à faire demi-tour à plusieurs reprisent pour trouver d’autres routes praticables.

Nous n’avions ni l’entraînement ni la compréhension de la topographie du terrain pour espérer vaincre sans nous salir et sans un bain de sang. L’obligation de rester grouper et les armes pointées vers l’avant en prémisse d’une attaque surprise frontale dans le blizzard, n’aidait pas à réduire le stress. D’autant que la poudre à canon gelait à l’intérieur de ses derniers, nous empêchant de tirer, nous forçant à utiliser la baïonnette comme seule arme. Ours, davantage qu’homme, monstre davantage qu’humain. Nous avions tous évolués en quelques choses d’immondes et haineux, nous encrassant dans les territoires ennemis essayant tant bien que mal de vaincre.

Les montagnes, si de leurs hauteurs pointes le ciel de leurs beautés épurés, plus bas, formes rasoirs et épines tranchantes, des couteaux et des aiguilles naturelles, coupant l’horizon dans leurs vanités d’atteindre la voûte céleste. La roche grise comme un ciel orageux, déformée et transformée, n’est que doigt accusateur, affrontant et modifiant le paysage à son gré. Monument de la nature et barrière naturelle, ce mastodonte est souvent accompagné de ses frères et sœurs, formant une chaîne serpentine et longue, dont la profondeur semble se jouer du ciel, comme le ciel se joue de la hauteur du serpent qui circule sous lui. Vieillards éméchés pour la plupart, elles sont pourtant redoutable et l’apesanteur ne leurs semblent pas ennemi, contrairement à l’oxygène, qui font tourner les têtes, pour bien d’autre raison que leurs grandeur à couper le souffle.

Elles font valoir leurs droits immémoriaux, sans jamais avoir cure de savoir qui enfreins les règles de la gravité. Les chutes aussi grande soient-elles, sont toujours courtes, et leurs destinations, permanentes. Et quand, sur le tapis menteur se couchent l’artifice humain qui glisse comme serpent dans le désert, la montagne semble prendre sa revanche et sa colère, pour la jeter dans un roulement sourd de neige et de fureur. Un coup de tonnerre sur le sol pentu, un rugissement de montagne dans un silence religieux. Sous se lit blanc menteur, se cache la morsure noire de la nécrose. Sa froideur lapis-lazulis sur les lèvres et les ongles, hantent les visages et les corps, lorsque ses derniers ne sont pas figeaient dans l’espace et le temps à jamais prisonnier de se paradoxe de la météo, caprice des cieux et des vents.

Et dans cette vie de mort, nous marchons, tête en avant, canon proéminant, sans jamais nous arrêter car cela signifierait la mort. Des automates ottomans, condamnés à répéter les mêmes mouvements, jusqu’à la mort ou la victoire.

04Les rêves qu'on n'a pu partager
1999, Tchétchénie
Je les ai entendus chanter, ces orgues maudites, aux vibrations graves, mais sifflements suraigües. Le sol se creuse et s’enfonce, les roquettes mugissent dans le ciel en s’écrasant sur la ville que fut autrefois Grozny. La fumée noire qui s’élève au loin, est fantôme de celle qu’elles produisent en plongeant sur le béton, débris et ruines volant en éclat dans toutes les directions, comme autant de fragments de vies brisées par la guerre. Lancées en rafales, elles crachent les flammes infernales, formant arc-de-ciel mortel dans les cieux, comme une promesse de mort brûlante et explosive. Une pluie sans fin, jour et nuit, les grondements des roquettes faisant trembler terres et Hommes, arrachant autant d’âmes qu’elles le peuvent.

Et jamais ne s’arrête le son terrible de ces lance-roquettes, soufflant la mort comme on respire sous la neige qui tombent. « C’est comme un orchestre » me dit un jour un soldat, alors que je regardais le ciel noir et gris, toujours menaçant mais sans jamais de soleil, comme refusant d’offrir un peu d’espoir. « Un orchestre de mort », me répéta-t-il comme si je n’avais pas entendu. Quand ce n’était pas l’artillerie qui chantait sa musique dissonante, c’était les soldats, gémissants et grognant, cherchant à dormir sans jamais trouver le sommeil. Ils essayaient de ce détendre comme ils le pouvaient, mais rare, ces temps-ci, était les rires ou les sourires.

Et pourtant sans s’arrêter, assauts après assauts ils encaissaient, luttant pour chaque centimètres de sol comme si c’était la chose la plus précieuse qui leurs étaient donnés. Jamais je ne trouva plus pathétique, que de voir les Hommes ramper sur la terre poussiéreuse comme des vers, en voyant dans leurs yeux l’espoir de peut-être, cette heure là, gagner deux pâtés de maisons de plus sur leurs zones de combat.

05Quand tout ce qu'on aime disparaît
2009, Ciscaucasie (Caucase septentrional)
La guerre… La guerre rends fou les Hommes.Violence est devenue bestialité possédée, la mort est devenue apocalypse contrôlée les combats sont devenus des carnages organisés. . Et parmi ses fantômes qui seraient traumatisés de cette furie sans nom ni but, ce trouvait des soldats comme moi, fantassin de combat. Français ou anglais, russes ou japonais, à ce moment là, plus rien n’importait si ce n’est cette bête informe qui se métamorphosait au grès du conflit, tantôt cauchemar tantôt réalité. Dans une bataille, peu importe le côté duquel vous êtes, l’ennemi n’est guère différent de vous. Il a des amis, une famille, une nation à protéger. Tout comme nous.

De l’aliénation du monde des Hommes, les combats tuent pour ne pas être tués, dans se paradoxe ou tous se ressemble et pourtant se battent aux noms de ceux qui ne voient que des chiffres s’affichaient sur leurs bureaux, là, où surplace, s’étalent rivières de sang et de cadavres. Cependant ici, ce n’était plus un choix mais une obligation, de leurs survies en dépendant. Et si à nouveau les flammes des enfers résonnent sur le champ de bataille comme autrefois, créant zizanies et cendres, un nouvel écho plus terrifiant encore sembla prendre son envol.

Des mugissements chauds et puissants. La fureur du feu et du sang. Les armes des Hommes rentrent dans une folie qui danse et fume. Et les pas cadencés de ses derniers, grondent comme coups de tonnerres. Seul le silence, plus tard, y répondra. Le silence de la mort. Un silence de morts. Mais pas un silence complet. Jamais. Il y a toujours se chant bourdonnant, en fond, qui ne souffre d’aucun arrêt, qui saccade, mais qui est toujours là. De se silence si lugubre, le son morbide lui réponds.

Et quand enfin, dans une éternité des années qui arrivent, le silence sur le monde revient, ce n’est pas parce que sa soif de sang est étanché, mais parce que plus personne ne peux se relever. Seul se dresse dans la mort et le désespoir ceux qui apportèrent destruction comme des dieux sur terre. Sous les vies arrachées qui s’amoncelles et de cauchemars qui me poursuivent. Cette folie de puissance et de ravages des gouvernements, cette destruction sans pitié ni clémence, une deuxième constante qui reste et forge l’Histoire, peu importe à quel point ont essaye d’apprendre à ne jamais la recommencer.

La guerre... La guerre rends fou les Hommes. Ou plutôt, les Hommes ont rendus fou la guerre. Ils apprennent vite, ses démons aux apparences fragiles, des diablotins sous des peaux d’ânes, cachant au monde leur véritable nature. En moins de dix ans, leur efficacité à tuer, chasser, apprendre, grandir à augmentée, ils sont comme des singes sur-évolués et je perçois parfois dans leur yeux, la félonie d’une domination mondiale.

Parfois, dans le noir où je tremble, je perçois les murmures et les susurres d'une bête dans mon esprit, comme si contrairement à moi, elle semblait déjà avoir abandonné tout combat. Résignée. Abattue. Peu s’en fallait pour que je l’imite, mais… Je devais encore tenir. Tenir, jusqu’à la mort. Tel était l’objectif.

06Le garçon doit partir
2015, Syrie
C’est une étendue ocre et jaunâtre, le désert, avec un ciel bleu sans nuage, et un soleil qui brille si fort que même la sueur ne suffit pas à faire descendre la température du corps. C’est un endroit plat, sans perspective, un peu comme le destin des soldats ici, qui s’en vont au combat, sans savoir qui va rentrer. C’est une guerre de char, sur les grandes plaines de sable, où ont peux même y faire cuire de la nourriture sur les moteurs en surchauffes des blindés. La poussière ce soulèvent de tout côtés comme un gigantesque mur dorée, mordant et brûlant la peau, s’introduisant sous les vêtements, piquant et irritant.

Par quarante degrés le jour, et parfois moins dix à moins quinze la nuit, le climat est aussi insupportable que la puanteur des corps sous le soleil. C’est une fournaise permanente, ou l’eau est une denrée aussi rare que précieuse, les bouches parfois aussi sèches que les peaux. Les armes sont incapables de tenir la cadence, chauffant et s’enraillant en permanence. L’huile de nettoyage des fusils fait coller l’épaisse poussière jaune, bloquant les balles dans les canons.

Les maisons sont aussi réclamées que les heures de sommeil, où chaque homme sous le bruit des bombes parfois, essaye de trouver un repos qui ne viens pas, et lorsqu’ils dorment, ils ce réveillent aux moindres bruits. Les avions survolent et passent, comme autant de mouettes sur les côtes, personne ne lève les yeux pour les regarder.

Il y a peu, une mosquée a brûlé, le désarroi dans le regard de ses pauvres gens, m'apporte presque de la pitié de leur croyance si naïve. J'ai abandonné l'idée que Dieu nous soit d'aucune aide, cela fait presque dix ans maintenant, que les légions des enfers desquelles je fais partie m'on convertis à vénéré une Bête certes atroce, mais plus sincère que le Tout-puissant ne sera jamais. Aussi cruelle que fus la leçon, j'ai fais la paix avec cette petite mort. Fut un temps, j'aurais regretté cette perte dans mon âme si sensible. Aujourd'hui, c'est à peine si elle a plus d'importance que de savoir quel repas nous aurons d'ici quelques heures. La Bête, il semblerait, offrait un sanctuaire de placidité désintéressé, qui frôlait presque la démence. Peut-être l'étais-je ?

Il ne fallait sans doute pas être saint d'esprit, pour espérer encore une quelconque justice, de guerres qui n'en finissent plus. Il m'arrive d'oublier mes actions, comme une marionnette désarticulée qui n'a plus personne aux commandes et s'étiole petit à petit. Je ne me rappelle plus de la dernière fois où une émotion m'a traversée le corps. Je m'accroche à l'espoir pourtant, comme une sangsue qui refuse de lâcher prise. Par lâcheté ou par courage, je n'arrive pas à me décider.

07Et l'homme doit rester
2015, Russie
Il y a, me disait souvent mes compagnons, un avant et un après. L'un comme l'autre, ne furent, en aucun cas, agréables. Après vingt-deux ans de carrière dans l'armée, pour quel genre de profession, je pouvais bien postuler ? Mes grades, tout comme mes diplômes ne valent rien dans le civil, ce monde aussi détestable, si ce n'est plus que dans mes souvenirs étriqués. Dans mes rêves les plus fous, je vois des villes du monde entier en proie aux flammes sous le règne des Supers, libéré de notre fardeau et du jugement nocif des Hommes. Dans mes cauchemars les plus honnêtes, je ne vois que poussières et corps, d'une guerre sans sens ni but, rébellion échouée, les Anges tombés du ciel, aux abois.

Ici, purgé du mal, il n'y a que les reptiles qui prévalent, ils survivent sur le dos des plus faibles, dans cette société entremêlée de sangsues, parasites et scorpion. La pièce de théâtre de chacun bien rodée, paraître et acté de manière convenable, dans les conventions sociales admises et acceptables. La brebis égarée écartée, les moutons noirs rejetés.

Mais n'est-ce pas la réalité, plus qu'un simple délire de mon sommeil illusoire ? N'est-ce donc pas déjà le cas ? Ses politiques abreuvés de corruption, ses sujets abrutis avec leur oisiveté toxique... Et nous autres, les Supers, les Anges, les envoyés de la Bête, venu sur Terre du ciel pour reprendre le flambeau décadent d'une espèce mourante. Indécis, sans leaders, sans foi, sans loi, sans même l'once de matière grise pour guider nos pas...

Me suis-je immédiatement senti investis d'une mission divine ? Non. Mais, tout comme je ne formais qu'un, avec mon ancienne unité, je cherchais sans doute à répliquer cette sensation d'être Un, dans une légion. Bien entendu, ce n'étaient pas mes envies de prophétie qui me donnerait de quoi vivre, j'ai donc pris le seul travail qu'il me restait. Quand il n'y a plus l'armée, il reste toujours le crime. Je construis mon propre empire sur une Secte, qui fut appelée "les enfants de la terre". J'avais à mon répertoire, des gens lambda comme puissants. D'avocats aux simples ouvriers. S'il m'arrivait parfois d'aller accomplir un contrat en échange d'informations, nul ne sembla le noter...

Il faudrait attendre trois ans, avant qu'elle ne soit démontée, que les brebis que j'avais nourris, éduqué et aimé, ne se retourne contre leur berger pour préserver le peu de candeur qu'il leur restaient. Je ne pouvais pas blâmer ses simplets, ils n'étaient que des moutons de Panurge envoyés à abattoir. Pour ma part ? J'ai quitté le pays, une fausse identité, un nouveau départ, dit-on. Je ne ressentais rien de nouveau, dans cette amertume qui me collait à la peau. Je m'étais fourvoyé sur la méthode, mais j'étais certain que je parviendrais à mon but, j'avais après tout, un temps indéfini devant moi... Non pas que le gouvernement n'eusse à le savoir. N'est-ce pas ?
Pseudo/prénom Shun Age 23 ans Pays France Commentaire X Autres comptes Aucuns Crédits Mwa

Codes de recensement:
Meiling Zhang
Meiling Zhang
pas l'temps d'niaiser
Âge : 31 ans
Supers : ★ Atomia ★

Contrôle de la matière (don majeur) : Mei manipule les atomes et peut ainsi changer la structure de la matière (la rendre solide, fluide, légère, lourde etc).

Vol (don mineur) : Mei peut se déplacer en volant sur des distances courtes. L'utilisation de son don majeur lui est impossible pendant qu'elle utilise celui-ci.
Occupation : Guard
Habitation : Burton Ridge
The beast of the earth | Alexeï 9m58
https://makeadifference.forumactif.com/t864-la-louve-dans-la-berhttps://makeadifference.forumactif.com/t927-you-ll-never-forget-me
Lun 9 Nov - 14:47 #
.
Bienvenue sur MAD !

J'ai immédiatement pensé à faire exploser de l'intérieur ce pauvre Alexeï, désolé The beast of the earth | Alexeï 1191297084

Courage pour la fiche en tout cas, si tu as des questions, n'hésite pas ! The beast of the earth | Alexeï 3727351867
Ilya Dmitriev
Ilya Dmitriev
Kéké des villes
Âge : 26 ans
Occupation : Vendeur de rêve ( dealer ) et homme à tout faire ( malfrat type petite frappe )
Habitation : Southwood
The beast of the earth | Alexeï Echange
C L O P E A D D I C T

https://makeadifference.forumactif.com/t910-i-l-y-a-done-statelehttps://makeadifference.forumactif.com/t914-drink-up-baby-look-at-the-stars
Lun 9 Nov - 15:03 #
.
Sdorówo, compaing russe The beast of the earth | Alexeï 1281723561

J'ai hâte d'en lire plus sur ta fiche, déjà j'adore son pouvoir et l'explication. C'est précis, c'est cool, ça va être chouette en intrigue oh oh oh. L'alias aussi est merveilleux, soit dit en passant.

Bienvenu sur le forum en tout cas The beast of the earth | Alexeï 313432227
Everest Beischel
Everest Beischel
Rang super naze
Âge : quinze bougies tout juste, ne le revendique pas fièrement.
Supers : appelé diablo par ses pairs, don de téléportation qui ressemble à celui des comics lu petit. recensé plus jeune, évite d'en parler.
Occupation : rat, cambrioleur, formé en secourisme aussi un peu
Habitation : southwoold le sang
téléporteur || quinze ans || anarchiste délivré || nerd complet || diabétique diagnostiqué, un chien d'assistance pour l'accompagner || musique très importante pour lui || cambrioleur depuis peu de temps, s'applique beaucoup dans sa nouvelle activité || secouriste pour la croix-rouge, parfois, sous une fausse identité || amoureux des couleurs de cheveux, surtout parce que ça lui permet d'être moins reconnu quand il en a besoin || ne rêve de rien, travaille sur le présent. rendre le monde meilleur à sa façon, au moins différent || aucun appel à ses parents, politicienne et juge d'instruction, depuis neuf mois maintenant
https://makeadifference.forumactif.com/t939-banners-wild-blindfo
Lun 9 Nov - 22:49 #
.
damn, son pouvoir est tellement décrit et tout? ça prouve que tu as super bien travaillé dessus c'est un plaisir! c'est exactement le pouvoir dont everest aurait rêvé plutôt que d'avoir des organes vitaux en kit et qui disent merde ptdr ahah. watch him jalouser sérieusement et pas s'en cacher. The beast of the earth | Alexeï 2800875253

je trouve que tu as une plume très intéressante et joliment descriptive, j'ai hâte de lire la suite, surtout que tu as l'air d'avoir beaucoup d'idées!
Maya Wilcox
Maya Wilcox
salé comme un saucisson
Âge : 31 ans
Supers : Apparition de la peur
Occupation : Traductrice (espagnol, anglais, français) pour des indépendants & casse-cou à temps perdu
Habitation : Southwood, dans un grand studio au deuxième étage d'un immeuble d'une vingtaine de logements
Va aux réunions de We matter too
The beast of the earth | Alexeï Tumblr_ny3b7tYwJl1uhtcnqo1_540
https://makeadifference.forumactif.com/t186-people-don-t-underst
Mar 10 Nov - 1:02 #
.
Ce pouvoir pratique pour une casse-cou, on échange ? The beast of the earth | Alexeï 2995728164

Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour ta fiche The beast of the earth | Alexeï 4257553696
Josephine Sørensen
Josephine Sørensen
Il va faire tout rang
Âge : 39 ans
Supers : Détecteur de mensonge
Occupation : Avocate spécialisé dans les affaires de Supers
Habitation : Burton Ridge
The beast of the earth | Alexeï Ezgif.com-gif-maker_1
The beast of the earth | Alexeï Ezgif.com-gif-maker
The beast of the earth | Alexeï Tumblr_o8sf83Y1sl1rskel5o2_r2_250
https://makeadifference.forumactif.com/t806-better-call-jo
Mar 10 Nov - 7:13 #
.
Bienvenue Alexeï The beast of the earth | Alexeï 1191297084

Le pouvoir est nickel ! Et ce début de fiche bien prometteur ! J'ai hâte de le voir en jeu !

Bon courage pour la suite de la rédaction The beast of the earth | Alexeï 3727351867
Alexeï Karkarovish
Alexeï Karkarovish
Rang super naze
Âge : 48 ans (réel) / 34 ans (physique)
Supers : Béhémoth - Régénération instantanée
Occupation : Mercenaire
Habitation : Southwood
The beast of the earth | Alexeï K0k2
- Plurilingue : russe, anglais, arabe et latin
- Carrière : 22 ans d'armée, 5 ans de mercenariat
- Loisirs : lecture et sport
- Radioactif : 50msv (représente 15 fois la dose reçue par an)
Mar 10 Nov - 9:35 #
.
Bonjour/Bonsoir à tous et merci de votre accueil ! The beast of the earth | Alexeï 2995728164

@Meiling Zhang s'il te plait, attends un peu avant de le transformer en ballon de baudruche The beast of the earth | Alexeï 200044100 j'ai besoin de lui ! (En vrai je sais pas si ça le tue ou pas... Probablement que oui)

@Ilya Dmitriev merci pour ton message, c'est très gentil The beast of the earth | Alexeï 3315067930 j'avoue, j'ai travaillé le sujet parce que je voulais vraiment pas qu'il soit trop abusé mdr

@Everest Beischel ahahah ! The beast of the earth | Alexeï 2046383353 aller je suis gentil, je prête pas t'inquiète fréro, si ont est poto je servirais de bouclier, ton perso à peut-être des organes vitaux en kit mais le mien est radioactif The beast of the earth | Alexeï 2734556848

@Maya Wilcox ah c'est gentil merci ! Very Happy désolé mais il partage pas, mais il a option lampe de chevet si tu veux !

@Josephine Sørensen promis je vais essayé de pas trop moussé et de faire n'importe quoi, mais j'avoue je suis inspiré sur celui-ci The beast of the earth | Alexeï 2995728164

Merci a tous encore, promis je finis vite, comme ça je viendrais vous embêtez The beast of the earth | Alexeï 2851472244
Nora Williams
Nora Williams
5 pièces d'or et un sandwich au poulet
Âge : 29 ans
Supers : Chimera peut créer l'illusion d'à peu près tout et n'importe quoi. Pourvu qu'elle l'est déjà vu. Durant un court laps de temps, elle peut créer un objet, une animal voire une personne. A de rares fois, elle a pu plonger des personnes dans un décor totalement différent, au point de lui faire oublier ce qu'il y a réellement autour. Mais cette capacité lui prend beaucoup trop d'énergie. Les rares fois où elle a dû l'utiliser, elle y a été contrainte pour sauver sa peau et a mis des jours à s'en remettre. Elle reste donc sur des choses simples et plausibles, qui ont d'ailleurs parfois plus d'effets qu'une grosse mise en scène. Inutile d'en faire des caisses pour être crédible, elle l'a bien compris. Nora reste cependant prudente : à trop jouer, ce pouvoir pourrait certainement la rendre plus folle qu'elle ne l'est déjà.
Occupation : Ecrivain
Habitation : Hillcrest Heights
Queen of the ashes
Mar 10 Nov - 9:41 #
.
Waw quel personnage en vue ! Il nous faudra un lien !! Bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite de ta fiche ! The beast of the earth | Alexeï 2046383353 The beast of the earth | Alexeï 1366294892 The beast of the earth | Alexeï 399089254
Maya Wilcox
Maya Wilcox
salé comme un saucisson
Âge : 31 ans
Supers : Apparition de la peur
Occupation : Traductrice (espagnol, anglais, français) pour des indépendants & casse-cou à temps perdu
Habitation : Southwood, dans un grand studio au deuxième étage d'un immeuble d'une vingtaine de logements
Va aux réunions de We matter too
The beast of the earth | Alexeï Tumblr_ny3b7tYwJl1uhtcnqo1_540
https://makeadifference.forumactif.com/t186-people-don-t-underst
Mar 10 Nov - 23:12 #
.
Option lampe de chevet ? The beast of the earth | Alexeï 420495498
Rachel Queen
Rachel Queen
The Queen Beetch
Âge : Vingt-cinq ans.
Supers : Aka Grey Shell | Précognition - capable de manipuler autrui sur une courte durée après un contact direct où elle aura « vu » quels évènements ou quelles réactions liées à cette personne pourraient se produire.
Occupation : Officiellement assistante en ressources humaines pour l'entreprise Gordian Knot | Officieusement, voleuse pour la GK et organisatrice réputée de tables clandestines, douée de ses doigts autant pour distribuer les cartes que pour voler divers objets au nez et à la barbe de ses victimes.
Habitation : Un loft à Burton Ridge.
The beast of the earth | Alexeï Paqy
Elle survit grâce à un afflux d'adrénaline constant. | Victime de violences conjugales, elle en garde des séquelles psychiques. Derrière sa façade solaire, joueuse et apprêtée, elle est un brin instable. | Son vrai nom est Saqarh, cependant, elle a payé pour changer d'identité afin qu'on ne la retrouve pas. | Elle est née à Las Vegas et est arrivée à Astoria en 2016.

The beast of the earth | Alexeï 774b56da3b1b8fbd5a04532641d601d54dbea82e
https://makeadifference.forumactif.com/t692-rachel-no-pearl-in-t
Mer 11 Nov - 13:04 #
.
Mais quel personnage fort intéressant que voilà The beast of the earth | Alexeï 1281723561
Bienvenue par ici & bon courage pour le reste de ta fichette The beast of the earth | Alexeï 3727351867
Alexeï Karkarovish
Alexeï Karkarovish
Rang super naze
Âge : 48 ans (réel) / 34 ans (physique)
Supers : Béhémoth - Régénération instantanée
Occupation : Mercenaire
Habitation : Southwood
The beast of the earth | Alexeï K0k2
- Plurilingue : russe, anglais, arabe et latin
- Carrière : 22 ans d'armée, 5 ans de mercenariat
- Loisirs : lecture et sport
- Radioactif : 50msv (représente 15 fois la dose reçue par an)
Mer 11 Nov - 20:52 #
.
@Maya Wilcox oui, lampe de chevet, parce qu'avec toute la radiation qu'il c'est bouffé, je m'étonne qu'il fasse pas déjà veilleuse pour bébé The beast of the earth | Alexeï 2995728164

@Rachel Queen Merci pour ton message bien sympathique, j'espère que je ne décevrais pas ! Wink
Charlie Ureña
Charlie Ureña
celle dont on ne doit pas prononcer le nom
Âge : 26 ans
Supers : Contrôle des animaux : Charlie peut inciter les animaux autour d'elle à accomplir des actions ou ressentir des émotions en dirigeant son pouvoir directement dans leur esprit.
Occupation : Auxiliaire vétérinaire
Habitation : Southwood, un petit appart partagé avec quatre chats et Audrain
The beast of the earth | Alexeï Smbk
The beast of the earth | Alexeï Chadrain_danse

The beast of the earth | Alexeï Tumblr_inline_ourf2qonUX1twk1o0_540


https://makeadifference.forumactif.com/t555-charlie-crazy-animalhttps://makeadifference.forumactif.com/t572-journal-de-bord-charlie
Jeu 12 Nov - 9:06 #
.
Astoria approved!

Merci de votre patience! Nous avons fini de traiter vos papiers. Ci-joint, un message de notre bien-aimé maire pour souligner votre importance à titre de citoyen d'Astoria.

Monsieur Karkarovish, bienvenue dans notre belle ville ! Vous connaissez déjà ? Oh vous allez vous y plaire, j'en suis sûr. Janine vous donnera quelques brochures si vous voulez. Un plan du métro et de la ville, et évidemment celle avec tout ce que j'ai déjà fait ici !


Outre l'amour infini du maire, des possibilités de jeu infinies te sont désormais offertes!

— Afin de bien t'intégrer, nous suggérons de passer par la case des liens et d'y créer une fiche. Tu peux également voir si ton personnage ne s'intégrerait pas bien à zone libre pour y mettre tout ce qui te chante! Moodboard, playlist Spotify, un exposé détaillant la relation tragique de ton personnage avec la salade d'épinards... peu importe. On veut savoir!

— Tu veux créer un prélien (de ta soeur, ton mari, ta chèvre? On juge pas)? Easy. Rends-toi dans cette section pour tout savoir.

—  Plutôt du genre à faire défiler ton fil d'actualités en jusqu'à en avoir mal au pouce? Ça tombe bien, il y a Superchat pour glander devant l'écran, et tu peux même créer un téléphone pour textoter tous tes amis jusqu'à la fin de la nuit (tout le monde sait que parler au téléphone c'est ringard, de toute manière).

—  Pour ne pas te retrouver démuni devant les nouveautés, on te suggère de surveiller les réponses à ce sujet de nouveautés. Chaque fois qu'on fera une petite mise à jour, nous la posterons à la suite afin que personne ne manque une info importante. Ça serait bête, quand même.

—  Encore confus? Viens poser tes questions ici. Je répète : on juge pas.

Et surtout, le plus important : amuse-toi bien!
Contenu sponsorisé
#
.