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There's no fairy tale
Make A Difference :: 02 Personnages :: Présentations :: Fiches validées
Raava Christiansen
Raava Christiansen
Rang super naze
Âge : 22 ans
Supers : Métamorphoses en monstres
Raava peut arborer différentes apparences monstrueuses du moment qu'elles ont quatre membres et qu'elles ne dépassent pas sa masse.
Occupation : Hôtesse et serveuse
Habitation : Un petit studio à Southwood
Thanator
https://makeadifference.forumactif.com/t916-there-s-no-fairy-tal
Jeu 1 Oct - 23:41 #
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Raava
Christiansen



Ft. Amandla Stenberg

Nom Christiansen.
Prénom Raava.
Alias Monstress.
Date de naissance, âge 17 juin 1998, 22 ans.
Origines, nationalité A des origines kenyanes du côté de son père et américaine du côté de sa mère. Elle est née en Alabama et est donc américaine.
Vie personnelle Fille de Josephine Sørensen avec qui elle n’a jamais eu de contacts. Mère d’une adorable princesse du nom d’Euterpe, du nom de la muse de la musique. Elle est née le 29 août 2015 alors que Raava avait 17 ans. Elle a aujourd’hui 5 ans.
Occupation Serveuse et auteure de livres pour enfants en amateur. Aucune affiliation pour le moment.
Habitation  Un petit studio à Southwood.
Personnalité Aux yeux de ceux qui ne la connaissent pas, elle apparait comme une jeune femme souriante et pleine de vie. Une jeune mère active qui paraît porter trop de responsabilité sur ses frêles épaules mais qui les supporte bravement. C’est le cliché de la bonne fille, polie et optimiste. Toujours une phrase encourageante sur le bout des lèvres et des compliments à distribuer. Elle semble travailleuse et responsable.
Ses vêtements sont usés et rafistolés, elle se démène entre le travail et son rôle de mère alors qu’elle n’a que 22 ans. De manière générale, on se sentirait coupable de trop lui en demander. Si elle ne peut pas participer à la cagnotte pour l’annif d’un collègue, ça semble tout à fait légitime. Elle ne peut pas venir boire un verre après le boulot, sa fille l’attend. La pauvre Raava, si courageuse malgré les épreuves ! Si joyeuse malgré l’adversité !
Et puis, quelle mère incroyable ! Elle aime sa fille, ça c’est sûr. Elle la gâte dès qu’elle le peut, la chérit et fais tout pour la rendre heureuse. Dès qu’elle a un peu d’argent, elle le dépense pour elle. Elle est prête à tous les sacrifices pour le bonheur d’Euterpe.

Raava a passé beaucoup de temps à travailler sur son image. Elle tient le rôle à la perfection ! La vérité c’est que derrière ce sourire se cache une jeune femme manipulatrice à la morale élastique.
Elle n’est peut-être pas un canon de beauté mais son sourire est doux et parait toujours si sincère. Il invite à la réponse, à la discussion. Elle l’arbore en toutes circonstances, qu’elle soit joyeuse ou en colère. C’est son bouclier qui lui permet de cacher ce qui se terre dans ses pensées. Il est dur de savoir dans quel état d’esprit elle est réellement, c’est une bonne comédienne qui a appris à garder ses émotions pour elle-même.

Elle ne se fie qu’à elle-même, elle sait ou tout du moins pense savoir que les autres ne sont pas dignes de confiance. Rejetée et blessée lors de son enfance, elle a grandi dans la haine et la colère.
Canaliser cette rage lui a pris du temps et afin de ne plus avoir à l’accumuler, elle se venge. Quiconque lui cause du tort a intérêt à regarder derrière son épaule…
Elle n’a aucun remords. Le malheur des autres, elle s’en contrefiche et si ça fait son affaire, et bien tant mieux ! Egoïste, individualiste et peu empathique, elle ne s’arrêtera pas pour vous aider si elle n’en tire aucun avantage et si elle trouve votre portefeuille dans la rue, elle le videra de son argent et jettera le reste.
Oh, elle ne commettra pas de crimes gratuits. Vous ne la trouverez pas en train de cambrioler votre appartement ou à tabasser des petits vieux pour les racketter. Elle a un minimum de bon sens. Mais disons que si vous l’avez emmerdé et que vous ne trouvez plus votre sac par la suite…
Concernant son amour pour sa fille, tout est vrai. Elle vous dirait sans hésiter qu’elle tuerait pour elle. Euterpe est toute sa vie, la seule personne qu’elle aime plus qu’elle-même, celle pour qui elle pourrait tout sacrifier. Quiconque oserait s’en prendre à cette petite découvrirait rapidement que l’enfer sur terre existe et qu’il s’appelle Raava.
Pouvoir Métamorphose en monstre.
Descriptions La métamorphose en animal, c’est tellement has-been ! Pourquoi se transformer en tigre lorsqu’on peut aborder l’apparence d’un monstre qui a deux fois plus de dents ? Pas convaincu par mon raisonnement ? Bah ! Vous êtes trop limités pour comprendre de toute façon.

Lorsque Raava se transforme, c’est en créatures de cauchemars, du genre que l’on voit dans les films. C’est d’ailleurs souvent de là qu’elle s’en inspire. Plusieurs conditions sont nécessaires pour qu’elle puisse arborer et utiliser une apparence :
1. Le nombre de membre : Bien que l’entrainement lui ait permis de se déplacer aisément sur quatre pattes, son cerveau n’est pas fait pour en gérer plus. Ainsi, les araignées à 8 pattes et autres mille-pattes géants lui sont hors de portée.
2. La forme et l’agencement des membres et du corps : Plus la forme et l’agencement des membres et du corps diffère de celle de l’humain, plus il lui est compliqué de les maitriser.
3. La masse : Toute transformation de Raava ne peut dépasser ou être moindre que la masse que représente son corps humain. Ainsi, si elle prend du poids, ses apparences seront plus imposantes.
4. Les ailes : Voler tel un oiseau est un rêve que caresse beaucoup d’humains. On pourrait croire que c’est à la portée de Raava mais ce n’est pas le cas. Les connaissances qu’il faudrait pour créer des ailes suffisamment bien formées et grandes pour lui permettre de la porter dans les airs lui manquent. Les maigres tentatives auxquelles elle s’est essayée se sont soldées par des épaules bien endolories et les pieds collés au sol.
5. Les queues : Elle peut ajouter une queue à sa transformation mais aura du mal à la contrôler et à l’utiliser.
6. Les cordes vocales : Pour pouvoir parler une fois transformée, Raava doit penser à inclure des cordes vocales dans sa transformation. Etant donné que sa gueule et sa langue sont souvent différentes de celle de l’hominidé, les mots qui en sortent sont souvent bien plus « monstrueux » que de sa voix humaine.

Plus qu’un pouvoir, c’est une addiction. La transformation la complète, l’épanouit et la rend heureuse. Il est fort possible que s’il n’y avait pas sa fille, Raava passerait bien plus de temps sous forme de monstre voire ne la quitterait que rarement.

La transformation n’inclut pas les vêtements. Si ceux-ci ne se déchirent pas pendant, elle a intérêt à avoir de bonnes griffes pour s’en débarrasser. Elle doit également penser à avoir des vêtements de secours au risque de se retrouver à se balader nue comme un ver lors de son retour à la forme humaine.

Qu’arrive-t-il avec les blessures ? Lorsque Raava est blessée, elle peut parfaitement se transformer. Lors de la transformation, elle éjectera tout corps étrangers. Ainsi, si elle s’est prise une balle, celle-ci sortira de son corps. Cela vaut également pour les boucles d’oreilles, c’est pourquoi elle n’en porte pas.
Lorsqu’elle reprendra forme humaine, son pouvoir lui fera revenir à son corps « normale », c’est-à-dire intact. Cela ne vaut toutefois que pour les petites blessures. Les autres seront problématiques comme pour tout être humain.

Jusqu’à présent, elle maîtrise correctement une poignée de transformation (ne cliquez pas si vous aimez pas les monstres) :
1. Khanivore (Death Love & Robots)
2. Thanator à quatre pattes (Avatar)
3. Le loup-garou de films d’horreurs

Recensé.e Non.

01 —
Lorsque l’existence des supers a été dévoilé, Raava ne savait pas encore qu’elle en était une. Ce n’est que 4 ans plus tard qu’elle devait faire sa première transformation et découvrir sa nature. Ainsi, à la découverte de l’existence des supers, elle a juste trouvé ça cool mais sans plus. Elle était jeune et les gens s’excitaient tellement à ce sujet en disant tout et son contraire qu’elle s’est désintéressée des implications d’une telle révélation.
Une petite curiosité l’habitait lorsque des infos impressionnantes sur les supers était divulgués. C’était nouveau et surprenant après tout !
Depuis, elle a découvert qu’elle en était une. Elle a parfaitement accepté sa nature et en est très heureuse.

02 —
Quelques mois plus tôt, Raava donnait naissance à Euterpe, se transformait pour la première et tout ça alors qu’elle avait à peine 17 ans. Alors autant vous dire que la Pryce Tower, les victimes et les supers, elle s’en battait les roubignoles avec les mains d’un autre. C’est toujours le cas d’ailleurs.
Si vous le lui demandez de face, elle vous fera un super monologue sur l’espoir, sur le courage du gentil super et la tristesse qu’elle ressent pour les victimes sans vous donner de réponse claire. Elle s’en fout en gros.

03 —
Raava ne se pose pas trop la question mais elle pense que les gens finiront bien par s’habituer aux super et que ça sera à l’avenir quelque chose de commun, d’acquis, de normal. Elle espère simplement ne pas être découverte en tant que Monstress et surtout qu’on ne développe pas des technologies pour déterminer si quelqu’un est un super.

01    Celle qui devait devenir Monstress

Eh ! Toi là ! Est-ce que tu connais Monstress ?
Non ? Voyons ! Elle a fait les gros titres dans le Missouri ! Une gamine de 17 ans qui, juste après avoir accouché, se transforme en créature de cauchemar. Y a des vidéos sur Youtube, va voir ! C’est la première fois qu’on a vu Monstress. A l’époque, forcément, elle n’avait pas ce nom-là. Les journaux avaient titré « Le Monstre du Missouri ».
La seconde apparition de Monstress a été trois jours après celui de la naissance de sa fille. Ce soir-là, les caméras de surveillance ont dévoilés ce qu’il s’est passé : elle s’est introduite dans l’hôpital jusqu’au service de la maternité. Une fois devant une infirmière, on la voit lui parler même si c’est dur à deviner vu qu’elle porte un sweat à capuche et qu’il n’y a pas de son.
Dans une interview, la fameuse infirmière explique qu’elle lui a simplement demandé : « Où est ma fille ? » et qu’avant même qu’elle ait pu lui répondre, elle s’est transformée sous son nez. Au moins, elle était sûre qu’elle sache directement de quelle enfant elle parlait ; ça a le mérite d’être efficace !
Je ne te surprends pas en te disant que le personnel de sécurité a été bien désemparé lorsqu’ils ont vu un monstre courir dans les couloirs avec un porte bébé contre ce qui devait être sa poitrine. Certains disent que l’enfant hurlait de peur, d’autres qu’elle a été dévorée par sa mère. Les suppositions sont allées bon train comme tu peux te l’imaginer.
La vérité c’est que l’enfant n’a pas bronché tandis qu’elle était emmenée par Monstress. Il faut également ajouter que cette dernière voulait juste récupérer son enfant avant que les services sociaux ne l’emmènent.
Car ce que désirait Le Monstre du Missouri, c’était que sa fille grandisse avec sa mère. Et que, même si elle n’avait pas de père, cette petite puisse vivre avec tout l’amour maternel dont un enfant a besoin. Chance qu’elle-même n’avait pas eu.

Comme beaucoup d’enfants aux Etats-Unis, celle qui devait devenir Monstress avait été abandonné dès sa naissance. Fruit d’une union de deux personnes trop jeunes pour devenir parents, elle n’avait connu pour famille que le couple qui l’avait adopté : Robin et Joseph Christiansen.
Certains disent que c’est le fait d’avoir été éduquée par un couple de gays qui l’a « dégénérée ». L’homosexualité n’est pas une maladie contagieuse hein. La connerie par contre… Enfin bon, toujours est-il qu’elle était leur unique enfant et qu’ils l’ont chéri plus que tout.
Elle a toujours été… Particulière. Là où les petites filles s’habillaient en princesse, elle voulait être le dragon. Là où on dessine des fleurs, elle gribouillait des ronces. Les araignées qui faisaient hurler même les plus valeureux, elle les écrasait nonchalamment du bout du pied. Elle n’avait pas peur des monstres, elle les adorait.
Monstress n’était pas une enfant qui rêvait d’être une princesse de conte de fées, ah ça non ! Après tout, entre un abandon, une famille d’accueil marginalisée et une enfance passée à être rejetée et harcelée par ses camarades de classe, elle avait appris que les « ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps » n’existaient pas.
C’était une tête brûlée qui s’attirait souvent des ennuis et qui ne se laissait pas faire. Dès qu’un de ses camarades avait le malheur d’aller trop loin dans ses brimades, il le regrettait amèrement. C’est qu’elle était teigneuse la petite !
Comme je te le disais, ses parents adoptifs l’aimaient comme leur propre enfant. Ils étaient incapables de lui en vouloir ou de la punir sévèrement. Il fallait que « jeunesse se fasse » et attendre que ça passe. Elle ne restait pas chez les psys de toute façon alors il fallait espérer qu’elle se calme un jour d’elle-même.

Pourquoi Monstress était aussi infernale te demandes-tu surement. C’est très simple : Parce qu’elle était en colère.
Il était injuste que tous ces enfants qui la jugeaient et se moquaient d’elle aient des parents qui les attendent tous les soirs en sortant des cours, qu’ils aient des grandes fratries et des cousins à ne savoir qu’en faire.
Il était injuste que les gens l’ostracisent parce qu’elle n’aimait pas les mêmes choses que les petites filles de son âge. Ne pouvait-on pas l’accepter comme elle était plutôt que de la critiquer constamment ?
La solitude, le ressentiment et l’abandon ne lui laissait qu’un sentiment d’injustice qui lui brûlait les entrailles et une colère bien trop grande pour une enfant l’habitait.

02    Elle aurait pu devenir quelqu’un de bien

C’est en entrant dans l’adolescence qu’elle finit par décider que la justice n’existait pas à moins qu’on ne la crée soi-même. A partir de ce moment-là, les bagarres et esclandres en tout genre se firent rares, au plus grand bonheur des Christiansen qui pensaient que leur stratégie avait fonctionné et qu’elle s’était assagie avec le temps.
Tu le sens hein, qu’il y a anguille sous roche ? Je dirais même baleine sous gravier ! Monstress était devenue la reine des vengeances sous la table. Mesquine et impitoyable, elle tapait là où ça faisait mal de manière à ce que personne ne se doute qu’elle était la coupable.
Après tout, qui aurait pu croire qu’une frêle jeune fille ait glissé un serpent dans le sac d’une fille qui s’est moquée d’elle ? L’animal s’était surement glissé là de lui-même. Et ce joli stylo qu’on disait qu’elle avait volé, il se trouvait en fait dans le sac d’un autre. C’était sûrement une coïncidence si la victime et l’auteur présumé de ce vol était deux personnes qui s’en étaient pris Monstress. Oui, oui, c’est bien de l’ironie que tu entends.

Elle était douée, tu n’as pas idée ! Imaginative à souhait, les coups bas étaient devenu sa spécialité. Les autres jeunes savaient que c’était elle bien qu’ils n’en aient aucune preuve mais les parents et professeurs n’y voyaient là qu’une preuve de plus du harcèlement qu’elle vivait depuis des années mais qu’elle supportait sans même plus se battre. Quelle brave petite !
Ils refusaient de croire que cette jeune fille avec son air si calme et réservé qui avait indéniablement murit puisse être à l’origine de tout ce chaos.  Car c’était maintenant, aux yeux des adultes, une enfant modèle qui semblait avoir beaucoup murit. Posée et serviable, les enseignants comme les voisins louaient l’amabilité de la petite Monstress. Elle était douée, je te le dis.
Tout allait bien dans le meilleur des mondes, tout du moins pour notre Super. Ses victimes, quant à elle… Enfin bon, elle avait trouvé un bon équilibre ! Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était là une mentalité saine mais elle avait arrêté de se bagarrer dès que quelque chose ne lui plaisait pas et, en dehors de ses camarades de classe, elle était plutôt polie en apparence.
Sa colère était en partie satisfaite par ses vengeances, par cette justice qu’elle se créait pour elle-même. Peut-être aurait-elle bien tourné si les choses avaient continué dans ce sens. Elle aurait probablement fini par se lasser de se faire des ennemis et aurait arrêté ses coups bas pour tenter l’amitié. Elle aurait pu devenir quelqu’un de bien.
Mais ça, on ne le saura jamais. Car Monstress tomba amoureuse.

La petite démone infernale s’éprit d’un jeune homme alors qu’elle avait 16 ans. Je t’arrête tout de suite, ce n’est pas ce genre de conte de fées où l’homme brave tous les ont-dits pour briser la carapace de solitude d’une jeune fille pleine de bonté cachée.
Non, cette histoire, c’est celle d’une adolescente qui était prête à se soumettre à un homme en croyant que c’est de l’amour et celle d’un jeune homme qui obtenait l’admiration de ses pairs parce qu’il « se tapait la barge ».
Elle lui donna tout ce qu’il voulait. Son amour inconditionnel, son premier baiser et son intégrité. Mais elle devait lui donner quelque chose dont il ne voulait pas : un enfant. Ils avaient 16 ans. Mais elle était prête à porter et élever le fruit de leur amour. Pour lui, elle aurait fait n’importe quoi.
Mais quel fruit cueille-t-on lorsque ce que l’on croit être de l’amour ne s’avère être qu’une mauvaise blague ? Surement celui de la haine. Alors, elle le haït de toute son âme. Après qu’elle l’eut tabassé au sang, elle comprit que cette haine ne lui suffisait pas. Alors, elle voulut haïr cet enfant à naître.

Mais ce jour-là, où elle devait apprendre que son amour n’avait jamais existé et que la police l’avait emmenée parce qu’elle avait envoyé son petit copain à l’hôpital, que ses parents avaient été appelés et mis au courant de la nouvelle qui l’avait poussé à faire ça, on lui proposa l’avortement.
C’était l’occasion parfaite : Elle aurait pu haïr cet enfant et s’en débarrasser. Elle n’aurait même pas à lui donner la vie et à l’abandonner comme ses parents l’avaient fait. Il n’existerait tout simplement pas !
Et pourtant… Une main sur son ventre à peine bombé, sa haine ne se tourna pas vers ce bébé mais contre sa mère. Elle ne deviendrait pas comme elle. Elle ne laisserait pas cet enfant dépérir parce qu’il était un accident. Elle ne l’abandonnerait pas avec pour seul héritage un bout de papier avec un prénom et un nom.
Non, elle allait donner naissance à cet enfant. A SON enfant. Si elle ne pouvait aimer personne sur cette terre, si elle ne pouvait être chérie par personne alors, elle aurait cet enfant. Elle aurait enfin quelqu’un à aimer.

03    La Naissance

La douleur me déchire autant le corps que l’esprit, parvenir à formuler une pensée cohérente est un effort éreintant, mon esprit est plein de rage et de haine. Ces sentiments me sont tellement familier que les ressentir alors que je donne naissance me semble naturel. Je crie à nouveau et cette fois, ma voix me lâche. Ça ne me soulageait de toute façon pas.
Tout est si confus et mon corps bouillonne, ces infirmières parlent mais ça fait longtemps que j’ai arrêté d’écouter ? J’ai l’impression que ça fait des jours que je suis sur ce lit d’hôpital. J’ai insulté, supplié et pleuré mais rien n’y fait, la douleur me rend folle. J’ai eu beau répéter que quelque chose ne va pas, ils ne cessent de me dire que c’est bientôt fini et que je dois tenir bon.
Je suis épuisée. Cette vie injuste m’épuise. Mon enfant va naître d’un moment à l’autre et je me sens si seule, si démunie. Je vais devoir l’élever seule, je ne m’en sens même pas capable. Comment pourrais-je le protéger ?
« Quelque chose ne va pas », je croasse à nouveau. Et on me répond à nouveau de tenir bon, que le bébé arrive. Mais je suis si lasse, tenir bon me semble vain. Ma tête retombe en arrière et heurte le lit.
J’arrête de me battre contre ce sentiment et il m’envahit, chaque partie de mon corps brûle d’un feu nouveau. J’ai l’impression que ce moment dure une éternité. Toute cette colère, cette haine, ce désespoir. Il faut que ça sorte. IL FAUT QUE CA SORTE !
« C’est une fille ! »
Mon esprit tente de comprendre ce qu’il se passe. Trop d’informations, trop de sensations, trop d’émotions. Est-ce moi ou eux qui crie ? Est-ce moi ou eux qui bouge ? Cette peur, est-ce la mienne ou la leur ? Tout est si flou.
Et puis, je l’entends pleurer.
Ses cris percent ma confusion. Mon enfant est née. Un sentiment indescriptible m’envahit et j’ouvre les yeux pour la voir. Les infirmières hurlent et s’éloignent de moi, l’une d’elle porte ma fille dans ses bras et la serre contre elle comme pour la protéger. Je tends les mains vers elle pour qu’elle me la confie et je les vois. Ces longs doigts qui finissent par des griffes, ces avants bras d’une couleur sombre surnaturelle.
Je reste béate quelques secondes avant de regarder mes jambes. Elles aussi ont changées mais cette transformation est plus marquée sur mes pieds. Je suis encore engourdie par les derniers évènements et ne parvient pas à arranger mes pensées. L’infirmière qui porte ma fille sort de la pièce, paniquée.
Je veux lui dire de revenir, de me donner mon bébé mais seul un râle s’échappe de ma gorge. Alors je me lève. Ce mouvement m’est compliquée, j’ai l’impression que mon corps ne m’appartient plus. Je titube tandis que la pièce se vide de ses occupants.
« Raava ! »
Cette voix… C’est P’pa. Il entre, suivi de Papa. Ils ont tous deux un mouvement de recul.
« Raava… C’est toi ? »
Je tente de répondre mais un nouveau râle m’échappe. Un éclair de lucidité me traverse et j’attrape un bac en métal pour me voir. Même si l’image est déformée, je vois ce qu’ils voient. Je suis monstrueuse.
Je panique, j’ai peur. Je tente de parler mais seul un chaos de râles sort de ma bouche. Je ne suis pas en sécurité. Il faut que je fuie.
Je trébuche en tentant de marcher. Mes membres ne sont pas comme avant. Je bouscule mes pères pour sortir et l’une de mes griffes transpercent le pull de P’pa, puis sa chair. Je trébuche à nouveau dans le couloir et me rattrape sur un lit qui traine dans le couloir, celui-ci roule au loin et je m’écroule de tout mon long sur le sol.
Les gens hurlent, j’entends quelqu’un crier mon nom et les pleurs d’un bébé. Je tente de me relever et remarque que mon équilibre est meilleur à quatre pattes. Mes bras ne sont pas habitués à bouger de concert avec mes jambes pour avancer et je me cogne plusieurs fois. Je vois la sortie et accélère, je suis tellement confuse que je n’ai pas le temps d’assimiler tout ce qui se passe autour de moi.
Nous sommes des animaux, la fuite fait partie de notre essence. Mes membres se coordonnent d’instinct pour courir. Cela me parait si naturel de me déplacer à quatre pattes. Les pneus crissent pour m’éviter, tous ces phares, tous cris, toute cette peur me poussent à fuir encore plus loin.
Je cours. Je cours jusqu’à en avoir mal au bras puis aux jambes. Je cours jusqu’à ce que j’oublie la douleur. Je cours jusqu’à ce que j’oublie la peur. Je cours si vite, le paysage défile sous mes yeux sans que j’aie le temps d’assimiler ce que je vois. Le bitume fait place à la terre tandis que je pénètre dans une forêt.
Le vent sur ce nouveau corps, le frôlement des branches des arbres que j’évite, mes griffes qui s’enfoncent dans le sol et me propulsent plus loin. C’est délicieux. Je me sens complète, libre. Je m’arrête brusquement, inspire un grand coup et crie. Un cri libératoire qui me permet enfin d’exprimer tout ce que je ressens. Je m’entends, ce son n’est pas humain.
Les animaux l’ont compris, ils fuient tous. Les battements d’ailes paniqués, les glapissements effrayés, les petites pattes qui courent pour s’éloigner de moi. Je rugis à nouveau, savourant la peur que j’inspire.
L’adrénaline retombe petit à petit et j’halète des efforts que j’ai fourni ces dernières heures. La fatigue m’envahit, pas celle d’un esprit torturé mais celle d’un corps rompu par l’effort. Je me roule sur moi-même et accepte le sommeil avec reconnaissance.
Avant de sombrer, je remarque que je n’ai même pas pu voir le visage de ma fille.

04    L’image que le miroir renvoi

Je me réveille sereine comme je ne l’ai pas été depuis longtemps. Il me faut quelques secondes pour me rappeler que mon corps à changer et pour adapter mes mouvements. Lorsque j’ai souhaité redevenir humaine et que ça s’est produit, j’ai tout d’abord été soulagée. Mais ce sentiment de puissance et de plénitude me quittait en même temps que mes griffes. De toute façon, je suis en pleine forêt totalement nue alors autant profiter de cette apparence.
J’erre sans but jusqu’à trouver un semblant rivière. On m’a toujours dit que cette eau est potable. Alors je bois. Ma soif prime sur le goût qu’elle a. Il n’y a rien à manger aux alentours. J’envisage de chasser. Après tout, j’ai des griffes et des crocs maintenant. Je décide finalement d’attendre. J’ai faim mais pas suffisamment pour tenter cette expérience. Je finirais bien par trouver quelque chose.
Un besoin plus primaire m’habite : Je veux voir ma fille. Cette envie me ronge tant et si bien que je décide de retourner en ville.
Je marche d’abord sur deux pattes avant de choisir le trot à quatre. L’allure plus modérée qu’hier, je profite pour assimiler les derniers évènements. Tout ce chaos me semble bien loin mais les ressentis sont encore là. Ce sentiment d’être libre, d’être la menace, je le savoure et il comble ce vide que la colère et la haine ne pouvait satisfaire. Je suis complète.
Je pense à ma fille. Après tout ce qu’il s’est passé, vont-ils me l’enlever en disant que je suis trop dangereuse et que je pourrais lui faire du mal ? L’angoisse m’étreint le cœur. Je remarque avec surprise que les monstres ont un cœur.
Sur le chemin, je vois mon reflet. Je m’arrête pour m’observer. Effrayant. Monstrueux. Mon premier réflexe est de détourner le regard mais cette image m’obsède. Ce monstre, c’est moi. C’est moi qui les aie faits hurlés et fuir. C’est moi qui aie causé cette peur viscérale, cette conviction qu’ils ont surement ressentie : celle qu’ils allaient mourir de mes mains.
Je suis effrayante. Je suis monstrueuse. Et je suis magnifique.
J’ai toujours aimé les monstres.
Je souris et le reflet dévoile mes crocs.
Qu’ils essaient donc de me prendre ma fille.

05  L’amour qui lui avait toujours été refusé

Ce jour-là, Monstress était née avec sa fille. Pour nous, observateurs extérieurs, ce n’était là que l’apparition d’une super à l’apparence fort disgracieuse. Mais c’était là quelque chose de bien plus puissant. Là où cette fillette naissait, Raava renaissait. Et l’amour inconditionnel qui lui avait toujours été refusé vit le jour.
Après avoir récupéré sa fille à l’hôpital, elle se dirigea vers la maison où elle avait grandi. Bien que son objectif fût d’y pénétrer sans se faire remarquer pour récupérer ses affaires, ses parents la surprirent.
Elle leur dit qu’elle s’en allait. Il était inenvisageable pour elle de rester dans cette ville après ce qu’il s’était passé. Tout le monde finirait par savoir ce qu’elle était et cela mettrait sa fille en danger, elle en était sûre. Elle l’emmenait donc vivre ailleurs, dans un endroit où Raava Christiansen n’était pas une barge ou un monstre et où elles pourraient vivre en paix.
Elle ne fuyait pas, non. Les monstres ne fuient pas face aux paysans. Elle allait juste mettre la princesse qu’elle devait protéger à l’abri. Pour Monstress, la justice n’existait pas à moins qu’on ne la créât soi-même. Cela pouvait également valoir pour les contes de fées.
Après avoir compris que rien ne pourrait l’empêcher de partir, ses parents proposèrent de l’accompagner. C’était évidemment hors de question. Ils n’étaient que des boulets pour elle, des obstacles. Ils n’étaient même pas ses vrais parents.
Et pourtant, elle eut beau leur dire tout ça, Robin lui donna sa carte de crédit et Joseph les clés de sa voiture. Ils lui promirent tous deux qu’elle et sa fille auraient toujours un endroit où rentrer.
Elle aurait pu devenir quelqu’un de bien. Mais même si elle vous dirait qu’elle n’a jamais été aimée de personne, une part de sa conscience se souvient de ces deux hommes qui l’ont élevée et l’ont chérie comme le trésor le plus précieux de leur vie même si elle refuse de l’admettre.

06    Le Monstre et la Princesse

Je soupire avec soulagement. Cette journée de boulot a été longue mais pas improductive. Le vieux vicelard qui m’a mis une main au cul doit être aux toilettes à l’heure qu’il est, les laxatifs que j’ai mis dans son verre ont surement fait effet depuis. J’enlève cette tenue de serveuse pour la dernière fois.
Mes collègues me serrent dans leurs bras et me souhaitent tout le meilleur. Ce boulot était vraiment chouette. Engager une jeune maman qui n’a aucun diplôme était plutôt sympa de leur part et ils ont été vachement compréhensifs : Ils m’ont toujours laissé partir en panique lorsque l’école m’appelait pour ma fille et me laissait l’amener au travail lorsque je n’avais personne pour la garder. Je suis presque déçue d’avoir déposé ma démission.
Le café est fermé et tout le monde se réunit à l’une des tables. J’entends les rires d’Euterpe et ils me réchauffent le cœur. Elle a conquis le cœur de tous et le butin de cadeaux d’adieu s’accumule à ses pieds. Elle est redoutable ma petite !
Je leur ai dit que je retournais vivre chez mes parents, que j’avais décidé de devenir auteure de livres pour enfants à temps plein plutôt qu’en amateur et que mes pères allaient m’aider à s’occuper de la petite. Ils m’ont bien évidemment cru : Pourquoi se douteraient-ils un instant que je suis une super métamorphe qui a décidé de rejoindre Astoria ? Je ne suis même pas recensée. Associer Monstress à Raava Christiansen pourrait mettre ma fille en danger.
Heureusement, j’ai été rapidement oubliée. La catastrophe de la découverte de mes pouvoirs a un peu fait le buzz à l’époque, mais depuis, l’oubli m’a bénie de son anonymat. Par la suite, les quelques rares fois où on m’a aperçue alors que j’étais transformée n’ont suscités que des émois modérés sur des blogs de conspirationnistes qui croient aux aliens ou de fanatiques de supers. Ce sont ces derniers qui m’ont trouvé ce surnom de super et j’avoue que je le préfère au « Monstre du Missouri ». Beaucoup trop long ! En plus, voilà des années que je n’ai pas remis les pieds dans cet Etat.
Et aujourd’hui, je quitte l’Arizona pour l’Oregon. La ville des supers m’attire et je ne peux m’empêcher de me dire que là-bas, apercevoir un monstre serait « normal ». J’ai déjà contacté une école pour Euterpe et ils l’ont acceptée comme élève même si la rentrée est déjà passée. Pour le boulot, c’est un peu plus compliqué, tous les cafés que j’ai contactés ont refusé mon CV ou ne m’ont tout simplement pas répondu.
Je vivrais sur mes économies et, dans le pire des cas, j’ai toujours la carte que m’avait filé P’pa lorsque je suis partie. Je sais qu’ils la réapprovisionnent dès que je l’utilise.
La soirée se termine. Je force une petite larme pour leur montrer à quel point je suis triste de les quitter et promets de leur donner de nos nouvelles régulièrement. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que je vais changer de numéro de téléphone. Ils ne me sont plus utiles désormais. Je les quitte avec un beau sourire, ma fille et les présents dans les mains.  
Une fois rentrées, je range ces derniers dans nos sacs. Tout devrait rentrer dans la voiture. C’est toujours celle de Papa, le temps et mon absence de compétences pour l’entretenir l’ont transformée en vieux tas de ferraille peu élégant. Mais bon, au moins, elle fonctionne.
Euterpe est stressée. Elle n’a que 5 ans. Déménager dans un tout nouvel endroit est effrayant. Je fredonne ses chansons préférées, c’est l’une des rares choses qui permet de la calmer. C’est d’ailleurs pour ça que je lui ai donné ce nom : La musique étant très importante pour elle, le prénom de la muse qui la représente était parfait.
Une fois sereine, elle m’adresse un sourire filou. C’est sa tête de fripouille qui laisse présager des revendications auxquelles il va falloir céder.  
« Maman, montre-moi un monstre ! »
Je ris et la serre dans mes bras pour la couvrir de baisers puis m’éloigne pour entamer une transformation. Elle monte sans craintes sur mon dos pour m’utiliser comme poney en riant aux éclats. Et même si mon sourire dévoile des dents longues et acérées, à aucun moment elle n’a peur.
Elle tient bien de moi : Elle aussi aime les monstres.
Pseudo/prénom Josh Age 21 Pays Belgique (NONANTE) Commentaire Criez grâce lorsque vous en aurez marre que je parle d’animaux. Crédits Photo NYtimes et retouches par moi

Codes de recensement:
Maya Wilcox
Maya Wilcox
salé comme un saucisson
Âge : 31 ans
Supers : Apparition de la peur
Occupation : Traductrice (espagnol, anglais, français) pour des indépendants & casse-cou à temps perdu
Habitation : Southwood, dans un grand studio au deuxième étage d'un immeuble d'une vingtaine de logements
Va aux réunions de We matter too
There's no fairy tale  Tumblr_ny3b7tYwJl1uhtcnqo1_540
https://makeadifference.forumactif.com/t186-people-don-t-underst
Ven 2 Oct - 0:21 #
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Un pouvoir qui fait aussi peur que celui de Maya There's no fairy tale  4157474523 fuyez-tous !

Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour ta fiche There's no fairy tale  2851472244
Ilya Dmitriev
Ilya Dmitriev
Kéké des villes
Âge : 26 ans
Occupation : Vendeur de rêve ( dealer ) et homme à tout faire ( malfrat type petite frappe )
Habitation : Southwood
There's no fairy tale  Echange
C L O P E A D D I C T

https://makeadifference.forumactif.com/t910-i-l-y-a-done-statelehttps://makeadifference.forumactif.com/t914-drink-up-baby-look-at-the-stars
Ven 2 Oct - 0:26 #
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Rooooh mais ce pouvoir est tellement cool There's no fairy tale  1970340147

Bienvenue à toi ! J'adore ton personnage et son concept. Et puis sa relation avec sa fille, tellement choups There's no fairy tale  3727351867 j'ai hâte de voir ce que ça va donner un monstre dans la ville.
Charlie Ureña
Charlie Ureña
celle dont on ne doit pas prononcer le nom
Âge : 26 ans
Supers : Contrôle des animaux : Charlie peut inciter les animaux autour d'elle à accomplir des actions ou ressentir des émotions en dirigeant son pouvoir directement dans leur esprit.
Occupation : Auxiliaire vétérinaire
Habitation : Southwood, un petit appart partagé avec quatre chats et Audrain
There's no fairy tale  Smbk
There's no fairy tale  Chadrain_danse

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https://makeadifference.forumactif.com/t555-charlie-crazy-animalhttps://makeadifference.forumactif.com/t572-journal-de-bord-charlie
Ven 2 Oct - 7:05 #
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La voilà !!  There's no fairy tale  3727351867

Bienvenue officiellement, j'ai hâte de te voir en jeu parmi nous !

On s'occupe de ta fiche sous peu, promis  There's no fairy tale  2851472244
Josephine Sørensen
Josephine Sørensen
Il va faire tout rang
Âge : 39 ans
Supers : Détecteur de mensonge
Occupation : Avocate spécialisé dans les affaires de Supers
Habitation : Burton Ridge
There's no fairy tale  Ezgif.com-gif-maker_1
There's no fairy tale  Ezgif.com-gif-maker
There's no fairy tale  Tumblr_o8sf83Y1sl1rskel5o2_r2_250
https://makeadifference.forumactif.com/t806-better-call-jo
Ven 2 Oct - 7:55 #
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Ma fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiilllle There's no fairy tale  4131633650 There's no fairy tale  2208833093 There's no fairy tale  4209190056

Vous ici ? Mais enfin ! J'plaisante, j'prends la responsabilité de tout ! J'suis tellement contente que tu nous réjoigne et en plus avec ce perso qui frise la perfection There's no fairy tale  2213867751

De mon côté, tout est bon niveau cohérence There's no fairy tale  1191297084 J'ai hâte de te voir en jeu !

Léchouille, amour dans ta face, bisous sur ta fesse gauche toussah toussah (comme au bon vieux temps There's no fairy tale  3727351867 )
Charlie Ureña
Charlie Ureña
celle dont on ne doit pas prononcer le nom
Âge : 26 ans
Supers : Contrôle des animaux : Charlie peut inciter les animaux autour d'elle à accomplir des actions ou ressentir des émotions en dirigeant son pouvoir directement dans leur esprit.
Occupation : Auxiliaire vétérinaire
Habitation : Southwood, un petit appart partagé avec quatre chats et Audrain
There's no fairy tale  Smbk
There's no fairy tale  Chadrain_danse

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https://makeadifference.forumactif.com/t555-charlie-crazy-animalhttps://makeadifference.forumactif.com/t572-journal-de-bord-charlie
Ven 2 Oct - 9:30 #
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Astoria approved!

Merci de votre patience! Nous avons fini de traiter vos papiers. Ci-joint, un message de notre bien-aimé maire pour souligner votre importance à titre de citoyen d'Astoria.

Oh quelle mignonne petite fille vous avez ! Nous avons des associations qui peuvent vous aider, si besoin Janine vous donnera les coordonnées. Bonne installation à Astoria, Mademoiselle Christiansen.

Outre l'amour infini du maire, des possibilités de jeu infinies te sont désormais offertes!

— Afin de bien t'intégrer, nous suggérons de passer par la case des liens et d'y créer une fiche. Tu peux également voir si ton personnage ne s'intégrerait pas bien à zone libre pour y mettre tout ce qui te chante! Moodboard, playlist Spotify, un exposé détaillant la relation tragique de ton personnage avec la salade d'épinards... peu importe. On veut savoir!

— Tu veux créer un prélien (de ta soeur, ton mari, ta chèvre? On juge pas)? Easy. Rends-toi dans cette section pour tout savoir.

—  Plutôt du genre à faire défiler ton fil d'actualités en jusqu'à en avoir mal au pouce? Ça tombe bien, il y a Superchat pour glander devant l'écran, et tu peux même créer un téléphone pour textoter tous tes amis jusqu'à la fin de la nuit (tout le monde sait que parler au téléphone c'est ringard, de toute manière).

—  Pour ne pas te retrouver démuni devant les nouveautés, on te suggère de surveiller les réponses à ce sujet de nouveautés. Chaque fois qu'on fera une petite mise à jour, nous la posterons à la suite afin que personne ne manque une info importante. Ça serait bête, quand même.

—  Encore confus? Viens poser tes questions ici. Je répète : on juge pas.

Et surtout, le plus important : amuse-toi bien!
Rachel Queen
Rachel Queen
The Queen Beetch
Âge : Vingt-cinq ans.
Supers : Aka Grey Shell | Précognition - capable de manipuler autrui sur une courte durée après un contact direct où elle aura « vu » quels évènements ou quelles réactions liées à cette personne pourraient se produire.
Occupation : Officiellement assistante en ressources humaines pour l'entreprise Gordian Knot | Officieusement, voleuse pour la GK et organisatrice réputée de tables clandestines, douée de ses doigts autant pour distribuer les cartes que pour voler divers objets au nez et à la barbe de ses victimes.
Habitation : Un loft à Burton Ridge.
There's no fairy tale  Paqy
Elle survit grâce à un afflux d'adrénaline constant. | Victime de violences conjugales, elle en garde des séquelles psychiques. Derrière sa façade solaire, joueuse et apprêtée, elle est un brin instable. | Son vrai nom est Saqarh, cependant, elle a payé pour changer d'identité afin qu'on ne la retrouve pas. | Elle est née à Las Vegas et est arrivée à Astoria en 2016.

There's no fairy tale  774b56da3b1b8fbd5a04532641d601d54dbea82e
https://makeadifference.forumactif.com/t692-rachel-no-pearl-in-t
Ven 2 Oct - 16:07 #
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Cette infinie rapidité There's no fairy tale  200044100
Une toute jeune maman, fille de notre Jo nationale en plus, c'est magnifique There's no fairy tale  3266631883
Avec un peu de retard, du coup, bienvenue parmi nous There's no fairy tale  3727351867
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